1. Hélène (20)


    Datte: 14/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... ligature et la bloque par deux nœuds plats. Je baisse les yeux, ma mamelle n’est plus qu’une boule rosâtre étranglée à sa base. La circulation du sang est coupée.
    
    Mon autre appât subit le même sort.
    
    Mes pauvres seins me lancent, eux que Pierre aime tellement masser, sucer, pétrir. Seront-ils encore capable de me donner du plaisir ?, Ressentirai-je les doux baisers de mon amant ?
    
    Une cravache caresse doucement la peau hypersensible de mes globes gonflés par le sang accumulé.
    
    La mèche du jonc percute mon mamelon. Je gargouille.
    
    Encore un coup, la douleur est terrible.
    
    Ma dominatrice abandonne cet instrument de torture pour me traiter avec un chat à neuf queues
    
    Les lanières s’abattent sur ma poitrine torturée. Lestés par les ventouses, mes seins sont balancés de droite à gauche, au rythme des cinglées. Ils prennent une couleur écarlate, à la fois à cause de la congestion de ma circulation et de la fouettée.
    
    Mon cœur bat la chamade, je ne peux même pas gémir, je suis au bord de la syncope.
    
    Je ne compte même plus les coups de martinet.
    
    Madame arrête mon supplice. Je reprends mon souffle.
    
    Elle coupe les ligatures de mes seins. Le sang afflue brutalement dans mes seins, augmentant la sensation de brulure.
    
    Mon bourreau m’adresse un sourire sadique. Et brutalement, elle tire brutalement sur un des tubes. J’ai l’impression que mon mamelon m’a été arraché.
    
    Mon deuxième téton subit le même sort. Je pleure de douleur. Je jette ma tête en arrière, me ...
    ... cognant contre une des barres de l’espalier.
    
    J’essaie de contrôler ma souffrance en maitrisant ma respiration.
    
    De longues minutes se passent pendant que j’essaie de refouler les sensations douloureuses.
    
    Elle détache mon bâillon, je claque nerveusement des dents, ma tête tombe sur ma poitrine. Elle la redresse en appuyant sa main gauche sur mon front. Ce n’est pas un geste tendre. Elle plante ses yeux dans les miens. Ses doigts s’emparent de la cloche soudée à mon clitoris. Elle la tourne, puis l’ôte d’un coup sec.
    
    J’hurle, mes jambes me lâchent, je pends dans mes liens comme un quartier de viande.
    
    Elle me redresse d’un coup de cravache entre les cuisses. Mon sexe me brule.
    
    Elle me détache, je m’écroule, et je me roule en boule sur le tapis.
    
    Ma domina me laisse souffler, elle en profite pour se déshabiller. Sa jupe tombe, son chemisier la rejoint.
    
    Elle est en bas noir autofixants et redresse-seins.
    
    Elle s’assoit dans un fauteuil et passe ses jambes au-dessus des accoudoirs rendant accessibles son sexe et son anus.
    
    — Avance ! Fait-elle en tirant sur ma laisse.
    
    Je me mets à quatre pattes devant sa fourche.
    
    — Léche, fais-moi plaisir.
    
    Je commence à honorer sa chatte.
    
    — Non, plus bas, bouffe-moi le cul.
    
    Je pose les yeux sur son anus. Quelle horreur. Ce n’est pas le beau muscle circulaire de Pierre, ou les corolles rosées de mes amantes.
    
    Non c’est un trou marron, d’où s’échappe des petites lamelles de chair et de peau. Son aspect est ...
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