1. Hélène (20)


    Datte: 14/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... sur mes longes, je m’incline. Je sens des ongles se crocher dans mes fesses, les écartant et dégageant l’orifice, jusqu’à maintenant propriété exclusive de mon seigneur.
    
    — Même pas besoin de lubrifier, fait-elle en passant dans mon sexe, la tête ovoïde de l’humiliant accessoire.
    
    Puis elle pousse l’embout métallique sur mon cratère. Celui-ci résiste puis cède, m’arrachant un soupir d’aise.
    
    — Fais la marcher.
    
    La soumise m’entraine par mon enrênage. Je ne vois rien sur les côtés. La morsure du fouet sur mes fesses est une surprise, je m’arrête. Mauvaise idée, une deuxième cinglée arrive.
    
    J’avance.
    
    — Il n’y a rien ici pour s’amuser, Elisa emmène là à coté. Décrete Béatrice.
    
    Je suis tirée au dehors par mon licol, comme une jument
    
    Dans le couloir, nous croisons les deux gros qui ont tenté de m’acheter. Le barbu lance la main vers ma croupe de jument. Mal lui en prend. La mèche de la chambrière s’enroule autour de ses doigts
    
    — Pas touche, vieux pervers, elle est à moi ! Lui envoie ma bourelle.
    
    La chambre suivante semble convenir à ma domina.
    
    — Laisse nous, Elisa, va, trouve toi un mâle pour t’enviander. Ce soir, c’est fête pour toi aussi lance-t-elle à sa servante.
    
    Celle-ci se retire, non sans me lancer un regard de jalousie. Souhaiterait-elle être à ma place ?
    
    Ma cruelle maitresse ne lui accorde même pas un regard et me place dos à un espalier. Elle fixe les mousquetons de mes poignets à hauteur de mes épaules. Elle écarte mes jambes et les ...
    ... entrave.
    
    Je stresse. Ma respiration s’accélère et soulève ma poitrine.
    
    — Il parait que ton seigneur aime tellement tes mamelles qu’il ne les traite qu’au martinet.
    
    — Eh bien ce soir, je vais faire la fête à tes nibards. Ajoute –t-elle
    
    Elle se retourne et saisit sur la desserte deux tubes en verre munis de robinet à leur extrémité.
    
    Elle prend le premier et le relie par un tuyau à une sorte de petite pompe à main.
    
    Elle le presse sur mon téton gauche et commence à aspirer ma framboise. Celle-ci gonfle, s’allonge, et devient aussi grosse qu’un pouce. Je geins, ma bouche bloquée par l’ignoble objet. Elle s’arrête de pomper. Et verrouille le robinet. Elle débranche le tube. La cloche reste pendue à mon sein déformé.
    
    Mon autre mamelon subit le même supplice.
    
    Elle s’agenouille, écarte mes lèvres, et dégage mon clitoris.
    
    Elle applique une coupelle étroite autour de mon bourgeon. Elle fait le vide. Mon petit organe se dilate, et remplit le tube. Il est allongé comme jamais.
    
    Je voudrais hurler, mais mon baillon ne laisse passer qu’un râle de douleur
    
    Mes extrémités les plus sensibles sont étirées, martyrisées. Mes jambes tremblent spasmodiquement.
    
    J’ai mal, et pourtant je sens un léger écoulement sur ma cuisse.
    
    — Alors, ma belle, tu es trempée ? Commente ma bourrelle.
    
    Elle attrape un cordon blanc sur la table, elle me le passe derrière la nuque. Les deux bouts pendent sur mon torse.
    
    Elle fait deux tours autour de mon sein gauche, elle serre sa ...
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