1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (45) : Ambre et Renaud


    Datte: 14/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... position. Il s’est mis sur le dos et je me suis empalée sur le type. Incrédule, il me regardait s'installer alors que sa bite s'enfonçait centimètre par centimètre dans ma chatte.
    
    Les coups de reins allaient de plus en vite et de plus en plus profond, Philippe ne pouvait qu’admirer cette bite géante dilater violemment la chatte de sa femme qui hurlait de plaisir. Mes cris devaient s’entendre de loin, seulement interrompus par des « oui » et des « encore » lancinants.
    
    Je continuais à me faire prendre, m’abandonnant totalement au plaisir. Je fixais Philippe, je savais qu’il ne perdait rien de ce spectacle qu’il aime tant. Ça lui a manqué à lui aussi.
    
    Je chevauchais le sexe de ce jeune mâle pendant que ce dernier était allongé sur le sol. J’ai eu alors un second orgasme, encore plus intense que le premier.
    
    Mon amant accueillait mes va-et-vient par des coups de reins pour plonger son sexe encore plus loin en moi. Je me penchais sur lui pour qu'il puisse embrasser mes seins. Le garçon n'était semble-t-il plus très loin de jouir.
    
    Mes jambes se mirent à trembler. Mon corps entier était plein de convulsions, mon rythme cardiaque s’accélérait, j’allais atteindre l’orgasme ultime, celui qui me laisserait brisée, repue.
    
    • Ouah, je ne le crois pas, t’es trop bonne, exceptionnelle ! Je te préviens, petite garce, je vais te remplir !
    
    • Viens !
    
    Cette fois-ci, je ne lui demandais pas de se retirer, je voulais qu’il se vide en moi, je voulais me donner totalement. Il ...
    ... y eut trois puissantes giclées. Je m’émerveillais de voir tout ce flot de semence se déverser ainsi librement dans mon vagin. Le gars se concentrait sur son plaisir, pendant que, reprenant mes esprits, j’adressais des mots d’amour mais aussi d’excuses à Philippe car je ne respectais pas notre Pacte.
    
    • Oh chéri, pardonne-moi, mais tu sais que mon plaisir est encore plus fort quand le mâle m’envoie sa semence au plus profond de ma chatte. Je reprendrai la pilule, mais là, j’en avais trop envie !
    
    Philippe, paralysé par le spectacle, n’avait pas osé intervenir. A son tour, il se laissait entrainer, oubliant nos résolutions et la prudence la plus élémentaire.
    
    • C’est une folie, chérie, mais tu sais bien que j’adore ça quand tu te fais remplir !
    
    Ce jeune homme devait se dire, à juste titre, qu’il était tombé sur un sacré couple de pervers !
    
    • Ne vous inquiétez pas, je suis sain. Par contre, elle m’a bien excité, ta meuf. J’avais les couilles bien pleines, elle voulait sa dose, elle l’a eu ! A votre disposition pour remettre le couvert une autre année, car c’est malheureusement mon dernier jour de vacances ici.
    
    Sur ce, il est parti, sans même un geste de tendresse. Il m’avait traité comme un « vide-couilles », mais c’est ce que je voulais : un étalon, pas un amant.
    
    Je me redressais. Ma chatte était béante, j’étais encore marquée par la jouissance que je venais de connaître. Je me dirigeais vers Philippe, en baissant les yeux :
    
    • Tu es fâché, chéri ?
    
    • Oui, ...
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