Mon stage chez New Life
Datte: 12/01/2021,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
strip,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
Humour
Auteur: Patrick H., Source: Revebebe
... petite. Le lever avait lieu vers 6 h du mat’ – le bordel monstre, en début de stage ! – puis on était invités à venir prendre notre petit-déj’ dans la salle commune, vêtus de nos robes de bure (le premier jour, je m’étais marré comme un bossu : on aurait dit une bande de séminaristes autour d’un Chaussé aux Moines !)
Bien que copieuse, la nourriture n’était pas top – thé et café à profusion, pain noir et beurre salé. On avait droit également à notre dose de « compléments alimentaires », des petites pilules censées nous aider à gérer le manque (anxiolytiques, antidépresseurs et probablement antibandaison). Ensuite on nous dirigeait vers les douches collectives (unisexes, malheureusement), où on nous laissait une demi-heure pour nous récurer.
Vers 7 h 30, on assistait à notre premier « groupe de parole », assis tous en cercle autour de Gandalf. En gros, une psychothérapie collective où l’on devait se flageller pendant des plombes sur ce qui nous avait conduit au culte du toujours plus. Et il y avait une séance de ce genre tous les matins ! Je ne vais pas vous infliger les détails, mais c’est sûr qu’on ne se sentait pas très fiers de nos embrouilles de couples, de nos relations tordues et des exploits commis dans nos boîtes respectives…
Marianne, par exemple, nous a avoué avoir fait le tour de tous les cadres de sa société avant de se faire surprendre sous un bureau. Dommage pour elle, le patron de la boîte, c’était son mari, et forcément elle s’était fait lourder ...
... comme une malpropre. La petite blonde jouait à celle que ça fait marrer, mais on sentait bien qu’au fond d’elle-même elle en avait gros sur la patate.
Quand nous avions suffisamment exprimé notre honte et notre dégoût de nous-mêmes, Gandalf nous laissait enfin nous traîner jusqu’à nos cellules, où l’on restait prostrés jusqu’au déjeuner.
À midi, retour à la salle commune pour une bouffe macrobiotique sans saveur (la vache ! Ils auraient pu au moins nous filer du pinard et du fromage, avec ce qu’on casquait !). Après ce qu’ils avaient le culot d’appeler un « repas », on sortait dans la cour accompagner les fumeurs, dragouiller les nanas du groupe, taper la discussion à propos de tout et n’importe quoi pourvu que ça n’ait aucun rapport avec le stage.
Il y avait divers ateliers l’après-midi : Yoga, relaxation, méditation et même poterie. Ce qui me plaisait le plus, c’était le cours de poterie avec la belle Deborah. Je ne vais pas vous raconter d’histoires, j’avais vraiment flashé sur cette fille. Pendant qu’elle nous montrait comment mouler des vases et d’autres saloperies, je m’imaginais derrière elle, les bras autour de sa taille, en train de lui tripoter les nichons.
Le troisième jour, alors qu’on était seuls dans l’atelier, j’ai glissé une main dans sa tunique. Elle ne portait pas de soutif. Sous mes doigts, c’était ferme, chaud et super doux. Là, malgré les médocs, je peux vous dire que j’avais une érection carabinée.
Elle s’est laissé faire un moment, puis, pas ...