1. Mon stage chez New Life


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fhhh, fsoumise, strip, Oral fdanus, fsodo, délire, Humour Auteur: Patrick H., Source: Revebebe

    ... poil. J’avais presque envie de chialer.
    
    — Attendez ! Faut que je passe un coup de fil à ma femme ! Je l’ai pas encore prévenue de mon arrivée…
    — Tu l’appelleras demain, m’a rassuré Luc, une main apaisante sur mon épaule. Il y a une cabine dans le hall.
    
    C’est sûr que comme ça, ça n’allait pas être facile-facile de se branler au téléphone avec Brigitte ou Laetitia…
    
    — Très bien, a repris le maître de cérémonie. Je vais vous demander de vous dévêtir à présent, afin de passer la tenue qui sera la vôtre tout au long du stage…
    
    Aussi sec, mes compagnons se sont mis à retirer leurs fringues. Quelle bande de couilles molles ! Quant à moi, je suis resté bras croisés, refusant de me laisser faire. S’avisant de mon refus, le gourou s’est avancé vers moi.
    
    — Eh bien, Patrick, te déshabiller te poserait-il problème ?
    
    J’ai été surpris qu’il connaisse mon prénom. Finalement, Gandalf avait un tout petit peu bossé, il avait fait l’effort de jeter un œil à nos fiches avant son speech…
    
    — J’ai rien contre le fait de me foutre à poil, mais je vois pas en quoi ça cadre avec les objectifs du stage !
    — Au contraire, Patrick, c’est très symbolique. En même temps que tes vêtements, tu commences à te dépouiller de tes réflexes vis-à-vis de la nudité d’autrui… Mais si, tu verras, ça s’apprend !
    
    J’ai scruté mes compagnons de misère, cherchant un soutien, une approbation. Rien à espérer de leur côté : ils grelottaient en slip autour de moi, dansant d’un pied sur l’autre en ...
    ... attendant qu’on leur apporte la fameuse livrée du séminariste, la tunique unisexe et les espadrilles en paille compressée.
    
    J’ai alors laissé traîner mes yeux sur Marianne, l’amatrice de sextoys. L’occasion de vérifier qu’elle était bien blonde de partout, avant qu’on ne l’empaquette dans une robe de bure… La jeune femme portait une sorte de cache-sexe arachnéen, guère plus qu’une ficelle autour de la taille. Quand j’ai aperçu son mont de vénus glabre et la conque parfaitement lisse de sa vulve, je n’ai pas pu m’empêcher de triquer. À travers le tissu fantôme, on distinguait même le capuchon proéminent de son clito, orné d’un piercing en forme d’alliance. Un tatouage très suggestif décorait son aine nerveuse, tandis que le bout de ses seins était percé de deux anneaux d’argent. L’image même de la nymphomane dans toute sa splendeur.
    
    Qui était-elle ? Une libertine repentie, une soumise révoltée ? Je n’ai pas eu le temps de m’interroger plus avant. Ça remuait pas mal du côté des futurs diplômés : en un rien de temps, l’un des mecs s’est débarrassé de sa défroque sous laquelle il était nu et en pleine érection. Puis, les yeux fous, il s’est rué vers Marianne, avec l’intention évidente de la pistonner sans autre forme de procès.
    
    Statufiés par cette explosion de violence, nous n’avons même pas pensé à faire un rempart de nos corps à la pauvre blonde, complètement terrifiée. Juste avant que le forcené ne la choppe, deux mecs se sont subitement matérialisés à ses côtés. Musclés, le ...
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