1. Mon stage chez New Life


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fhhh, fsoumise, strip, Oral fdanus, fsodo, délire, Humour Auteur: Patrick H., Source: Revebebe

    ... Pendant que je m’efforçais de la baiser par la bouche, Christian la sodomisait sèchement, un rictus sauvage figeant ses traits.
    
    Toujours docile, notre esclave sexuelle s’est remise à osciller d’avant en arrière, parcourant toute la longueur de mon manche avec ses lèvres bien serrées. L’anatomie féminine étant bien faite, nous profitions de ce mouvement de balancier pour nous faire cajoler à contretemps. Tandis qu’elle le prenait bien à fond dans le rectum, le bout de ma bite s’échappait presque de sa bouche. Puis, après une longue glissade, c’était l’inverse : sa bouche revenait enserrer ma colonne jusqu’à la base, alors que le gland de Christian se retrouvait à ballotter à l’entrée de ses fesses.
    
    Pour mieux sentir chaque centimètre de nos bites happé par ses orifices, nous lui faisions faire la navette le plus lentement possible, ce qui la rendait quasi folle. Elle tremblait, elle luttait pour accélérer le mouvement. Peine perdue, nous la tenions, qui par la nuque, qui par les hanches…
    
    — Une vraie machine à sucer, cette nana !
    
    Ludo était venu se placer à mes côtés, attendant sans doute que je gicle pour prendre ma place. Il n’en a pas eu le temps. Toujours concentrée sur ma bite, Marianne a lancé sa main à l’aveuglette, se saisissant du chibre disponible. Elle tenait enfin quelque chose qu’elle pouvait actionner à son rythme !
    
    Frustrée par notre indolence, elle s’est mise à le branler à toute vitesse, son poing pistonnant la bite de Ludo avec une rare ...
    ... férocité. Sans nous concerter, Christian et moi avons aussitôt accéléré le mouvement, à la grande joie de la poulette empalée sur nos manches. Le résultat ne s’est pas fait attendre. Alors qu’elle essorait Ludo avec le talent d’une professionnelle, celui-ci a laissé échapper un râle et s’est mis à gicler dans ses cheveux, en longues saccades béates.
    
    À la vue des jets poisseux s’écrasant sur les boucles blondes de notre délicieuse camarade, une décharge de lubricité m’a tendu en avant… Et j’ai explosé sur sa langue, inondant sa gorge de ma semence. Quelques secondes plus tard, c’était Christian qui poussait un hennissement de zèbre (une vraie ménagerie, je vous dis !) avant de se caler en elle bien à fond et de lui asperger les boyaux de fluide assainissant.
    
    Et c’est là que le rêve a brutalement viré au cauchemar… La porte de la chambre s’est ouverte à la volée et Gandalf est apparu, la barbe en bataille, sanglé dans une robe de chambre lie de vin qui n’était pas sans rappeler le teint de son visage. Il nous a dévisagés d’un œil noir, dans un silence éloquent.
    
    On a bien tenté de balbutier quelques explications, mais franchement, la situation parlait d’elle-même…
    
    -oOo-
    
    Le lendemain matin, Gandalf a reporté la psychothérapie de groupe pour nous recevoir dans son bureau l’un après l’autre. Depuis l’irruption du gourou dans la chambre de Marianne, on n’avait pas eu l’occasion de communiquer. On nous avait tenus au secret, comme une bande de criminels empêchés de s’entendre ...
«12...161718...24»