Mon stage chez New Life
Datte: 12/01/2021,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
strip,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
Humour
Auteur: Patrick H., Source: Revebebe
... entortillant une de ses mèches autour de ma bite.
Du côté des garçons, ça commençait à s’agiter sévère. Ludo avait retiré son chandail, Christian son pantalon, dévoilant une érection qui tendait son boxer comme un diable à ressort. Quant à moi, j’étais incapable de bouger ou d’ôter les yeux de cette paire de seins magnifiques, empaquetés dans un soutif aussi noir que l’âme de sa propriétaire. Bon Dieu ! Qu’est-ce qu’elle allait prendre, la pauvre ! Quinze jours d’abstinence, un trio de mâles en rut, ça allait être monstrueux !
Toujours entraînée par cette petite musique qu’elle était la seule à entendre, Marianne balançait des hanches. Et, dans le même mouvement, faisait glisser sa jupe sur ses cuisses dorées. Centimètre par centimètre, elle a dévoilé un string en dentelle ajourée, déjà marqué d’une belle tache d’humidité. On a eu un nouvel aperçu de son mont de vénus à travers le tissu transparent, une belle colline glabre surplombant le capuchon de son clito, lui-même traversé par un anneau d’argent. Je m’imaginais déjà en train de passer ma langue dans ce bijou, tiraillant ses chairs ruisselantes pour l’obliger à m’ouvrir la source de son plaisir…
Pendant ce temps, elle continuait sa danse du ventre sans s’occuper de nous. Ludo, complètement à poil, à présent, s’est glissé derrière elle et a posé la bouche à la jointure de sa clavicule et de son cou, lui embrassant la gorge avec l’empressement d’un vampire.
Soudain tremblante, la jeune demoiselle – qui avait ...
... sciemment choisi de se laisser baiser à mort ! – a fermé les yeux, avant d’égarer ses doigts dans la tignasse de son bourreau. Un long râle a franchi ses lèvres ourlées, comme si l’autre salaud lui suçait directement la chatte au lieu de lui mâchouiller la carotide. S’il ne l’avait pas retenu par la taille, elle se serait effondrée à ses pieds…
Il lui a glissé un mot à l’oreille. Obéissante, Marianne a lâché la queue qu’elle branlait d’une main leste pour dégrafer son soutien-gorge, nous faisant profiter d’une vision enchanteresse. Ses obus ont quitté leurs logements, exposant des bouts turgescents, rouge vif, raides comme des petites phalanges. D’une longueur obscène, cette chair dressée était martyrisée par des boucles de métal, qui la transperçaient de part en part.
J’avais eu l’intention de n’être que spectateur. Sincèrement. Mais en voyant les tétines bandées de cette salope, j’ai senti mes résolutions m’abandonner comme de l’eau filant entre mes doigts. Je ne voyais plus en Marianne l’orpheline ballottée de famille en famille, internée chez les bonnes sœurs, avide du regard des hommes et de leur reconnaissance, prête à tous les sévices pour ne pas risquer à nouveau l’abandon… À cet instant-là, il n’y avait plus qu’une pute magnifique en manque d’amour !
Ludo, lui, ne perdait pas le nord. Un sourire sadique aux lèvres, il s’est mis à tirer sans ménagement sur les nichons de notre victime consentante, allongeant ses mamelons aux limites de la rupture. La bouche ...