Mon stage chez New Life
Datte: 12/01/2021,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
strip,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
Humour
Auteur: Patrick H., Source: Revebebe
... d’arrière-pensées…
— Au fait, tu connais la dernière ? s’est-elle soudain écriée, toute à sa bonne humeur naturelle.
— Ben non…
— Paraît que ce soir on a droit à une séance de cinéma. Et qu’en plus y aurait des séquences « hot »…
— Nooon !
— Si si, je t’assure ! C’est Luc qui me l’a dit.
Marianne m’a fermement tiré à elle :
— Allez viens ! Faut pas louper ça !
Tu m’étonnes… Pour une fois qu’il y avait une bonne nouvelle !
Je lui ai emboîté le pas aussitôt, espérant avoir une place tout près d’elle pendant le film. Sait-on jamais, une salle obscure, un film cochon… J’allais peut-être pouvoir la doigter en toute discrétion !
-oOo-
Ah ! La fameuse séance de cinéma porno… Seuls les mecs étaient concernés, au grand dam de Marianne, d’Anne-So et de moi-même. Mais vu de quoi il s’agissait, les filles ne perdaient rien au change. Un vrai truc de sadiques ! Ils appelaient ça la « désensibilisation contextuelle », le cœur même de la méthode New Life. Sans ça, tu valides pas le stage. Et moi, le stage, j’avais plutôt intérêt à me le faire homologuer, rapport à Nathalie !
Alors, quand ils ont demandé qui était volontaire, tu parles si j’ai levé la main. Sauf qu’avant la projection, on avait oublié de te dire que tu serais équipé comme le gars dans « Orange Mécanique », l’adepte de l’ultra violence subissant un lavage de cerveau. Tu te retrouvais bardé d’électrodes, les tétons crochetés avec des pinces métalliques, le sexe emprisonné dans un développeur ...
... pénien, obligé d’avaler une pilule censée te filer la gerbe. Et là, on t’envoyait les images.
D’abord ils te passaient des séquences « éducatives », pendant quinze minutes environ. Des prostituées témoignant de leur calvaire : souteneur sadique, privation de liberté, passes à la chaîne, violence de rue, racket et bagarres entre filles… Avec des gros plans sur les estafilades, les cicatrices, les traces de coups, les corps fatigués, malades. Et puis aussi des gamines asiat’, habillées en bimbos, la clope au bec, le rouge à lèvres, fardées comme des cadavres. Huit, neuf ans, dix tout au plus, l’air hagard, l’horreur au fond des yeux. En alternance, les photos des pédophiles qui les avaient violées, une petite planchette à matricule entre les mains. Ça te coupait net l’envie de rire…
Après ça, on te diffusait le film. Au début, très soft : un mec et une nana se baladant à travers champs, main dans la main, se bécotant à qui mieux mieux. Séquence suivante. Elle, étendue dans l’herbe, à moitié déshabillée. Lui, les yeux rieurs, lui caressant la poitrine. Ils s’aiment, ils sont heureux, c’est génial, tout va bien. Puis ils se désapent, s’enlacent, s’embrassent avec plus de passion pour finir par faire l’amour à la papa (genre années 70, quoi). Tu commences à te détendre (ou à te tendre, c’est selon), bref tu bandes gentiment.
Et là, changement de décor : d’un seul coup, une partouze enragée, un gang bang de folie ou bien une double péné bien hard. Tu te mets à bander comme un ...