Campus AQP
Datte: 12/01/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
intermast,
pénétratio,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Promis ?
— Ok, promis !
Je pose ma main sur ses lèvres, et j’annonce :
— Ton père est venu ici…
— Mon p…
J’appuie mes doigts un peu plus sur sa bouche et je continue :
— Oui, il voulait savoir qui avait apprivoisé son petit écureuil. Je lui ai dit que je m’occupe de toi, que je veille sur toi, que je suis là pour toi, parce que je t’aime et que je désire rester à tes côtés.
Elle ne dit rien, les yeux grands ouverts. Une bonne minute de silence, puis elle demande :
— Tu lui as dit ça ?
— Oui !
— Tu es fou ! ?
— Oui, bien sûr ! De toi !
— Crétin !
Et je l’embrasse impétueusement, passionnément.
Il ne faut pas beaucoup en promettre à Nadia pour qu’elle exige la suite. Ça tombe très bien, puisque la suite, j’en ai fortement envie !
Son top puis son soutien-gorge valsent à travers le studio, ses petits seins adorables sont à moi. Délicatement, du bout des doigts, je les caresse, je les fais tressaillir, je les fais vibrer l’un et l’autre. Puis je les cueille tels deux belles pommes. Avide, je m’attaque à sucer suavement les aréoles puis à ériger ses tétons roses et sensibles de ma langue et de mes dents. Peu après, j’enfouis mon visage entre ses seins si doux et si chauds. L’instant suivant, je décide à lui en gober tout cru ! Ma succion est terrible, vorace et je sens dans ma bouche la masse tendre. Elle en frémit d’aise devant tant de convoitises de ma part !
Durant ce temps, l’une de mes mains part à l’attaque d’autres contrées à explorer. ...
... Très vite, elle trouve un chemin sous sa jupe en jean en remontant mes cuisses puis elle se glisse sous son slip, capturant posément une fesse accueillante. Je n’y tiens plus. Prestement, j’ôte cette petite culotte énervante pour avoir toute latitude avec son beau cul et sa chatte avenante. Elle me laisse faire, le regard brillant. Puis je joue de mes doigts à l’orée de sa fente déjà humide, taquinant ses chairs, agaçant un petit capuchon intime, et il ne faut pas longtemps pour qu’elle frémisse de contentement, ses lèvres cajolées, son clitoris flatté.
Bouillante d’impatience, elle s’attaque à ma braguette derrière laquelle se dresse mon mandrin dur. En un clin d’œil, celui-ci se dresse fièrement, pointu, effilé. Elle le saisit à pleine main et commence à le branler pendant que je joue toujours avec son clitoris en feu et son sein que dévore toujours avidement. De son autre main, elle dégage mes testicules et en caresse la douce peau, d’en palper les boules fermes et pleines.
Je suis dans un état d’excitation intense, infernal : jamais une femme n’avait réussi à ce que j’aie autant envie d’elle, que je veuille la prendre sans partage, que je la possède entièrement, absolument. Mes ex étaient pourtant chaudes, très chaudes, mais ma rousse Nadia est un bûcher ardent et incandescent !
Soudain, elle gémit :
— Prends-moi ! Vite !
— Oui, je te veux !
— Alors prends-moi, perfore-moi, explose en moi !
Tant pis pour les formes, je la veux, elle me veut, un point c’est ...