1. Campus AQP


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, jeunes, frousses, intermast, pénétratio, amourpass, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... tout mon doigt en elle. Cette sensation incongrue d’être possédée ainsi, son sein qui la vrille sous la torture de mes doigts et sa chatte en folie sous ma langue lui font perdre pied et, comme en chute libre, elle jouit bruyamment, laissant éclater son plaisir, en toute liberté.
    
    Je sens distinctement sur mon doigt les contractions qui irradient du bas de son ventre. Un brin macho, je suis fier d’avoir réussi à la faire jouir autant ! J’en profite pour la prendre en pince, mes autres doigts dans son vagin. Je pressens qu’elle apprécie de sentir cette étrange caresse à travers la fine paroi qui sépare les deux endroits de sa jouissance.
    
    Rompue et repue, Nadia s’affaisse littéralement, Elle s’effondre, laissant à mon entière disposition son corps abandonné et peut-être plus. Je retire mes doigts de moi, la laissant se reposer un peu. Elle réagit par un soupir d’aise.
    
    Elle soupire plus encore quand je couvre son ventre frémissant de baisers appuyés. Puis, lentement, je redescends…
    
    Nadia est vautrée, béante dans le lit, ouverte, ma tête entre ses cuisses, ma langue fourrée dans son sexe en folie. Je la lèche langoureusement, elle m’inonde doucement de sa douce cyprine. Je la sens qui se laisse aller complètement, abandonnée à son plaisir qui revient, qui la possède, qui la fait vibrer !
    
    Quelques temps après, j’abandonne son sexe, Nadia entrouvre un œil, un peu déçue. Ce sera de courte durée : Je me vautre impudiquement sur elle, de toute ma masse et je pénètre en ...
    ... elle d’un seul jet. Le pieu de chair que j’introduis en elle provoque une réaction bestiale. Elle projette son bassin en avant pour mieux m’absorber, me capturer. Sans plus de préliminaires, dans des halètements bruyants, nos corps coulissent, pistonnent, mon mandrin en elle, sa vulve autour. Elle plante ses ongles dans mes fesses, bien décidée à me faire pénétrer plus loin encore en elle. Je réponds à son invite par un pistonnage plus violent encore. Mes poils vrillent son clitoris dévoilé, mes secousses la rendent folle de convoitise, pour preuve, ses ongles dans ma chair ! Elle est à moi, rien qu’à moi, je l’épuiserai de désir, la laisserai vidée, exsangue de plaisir, et nulle autre ne pourra plus abuser d’elle !
    
    D’un coup, j’éructe, je pousse un cri de victoire, de jouissance profonde. Mon désir flagrant déclenche le sien, comme une réaction en chaîne et ses glapissements se mêlent aux miens tandis qu’elle me broie contre elle, afin que je lui inonde la chatte, que je lui donne tout !
    
    Vidé à mon tour, je s’affaisse momentanément sur elle, pesant de tout mon poids avant de réaliser que je l’écrase. Elle, elle est ailleurs, bien, très bien, la chaleur de son ventre irradie mon corps repu. Dans un grand soupir, je glisse sur le côté, tout en la plaquant contre moi, pour ne pas perdre mon contact et ne sortir pas de sa vulve si accueillante.
    
    Nous restons collés l’un à l’autre pendant de longs moments ; je la caresse doucement, à son tour, ses mains frôlent ma peau, ...
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