L'invasion Ch. 13
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... bas. Elle me soulève de telle façon que mon visage inversé soit pratiquement à hauteur de ses gros seins.
— Arno, tu me fais honte. Tu n'es pas capable de faire quelques petits exercices.
— Je vous en supplie, poursuis-je les yeux encore plein de larmes, le fouet fait trop mal, je veux bien faire, mais je ne sais pas combien d'exercices il faut faire, je pourrais au moins calculer la vitesse pour l'endurance.
— Fais-moi cinquante pompages sans faiblir, dit tout de suite Sadia et dès que tu as fini, tu passes à cent abdominaux.
Ca je sais faire. Mais avec la douleur et les exercices précédents, je risque encore de flancher. Heureusement, Ayesha me tient un moment, elle me retourne pour me prendre dans ses bras.
— Calme-toi, tu vas y arriver.
Sa présence me fait du bien, je ne pense plus du tout à partir, je veux rester dans les bras de cette femme puissante. Elle me dépose sur le sol, et j'ai eu le temps de souffler. Lentement, je me remets en position et recommence l'exercice imposé. Cette fois, je parviens à tenir une cadence. Je n'ai que la douleur des coups de fouet, et quelque part, cela me donne de la rage. Je ne compte plus mes mouvements, et mes muscles sont endoloris...
— C'est bon, entends-je la voix de Sadia, on dirait qu'il faut te cajoler comme un bébé pour que tu arrives à faire un exercice. Ce n'est pas mon genre. Allez, les abdos.
J'arrête. J'ai toujours une sorte de rage au ventre. J'en veux à cette Sadia de me frapper, j'en veux ...
... d'être si faible, d'être incapable de me défendre.
— Et arrête tout de suite ce visage de haine, éclate-t-elle, je n'aime pas du tout.
Je ne peux le cacher, je suis maintenant sur le ventre. Elle bloque mes pieds de sa botte, elle appuie fort, pour me faire mal, je le vois dans son sourire sardonique.
J'attends quelques instants pour récupérer. Mes biceps me font atrocement souffrir.
— Commence! Me dit Sadia en appuyant de sa botte sur mes pieds. J'obéis, malgré la douleur dans les pieds, malgré la douleur partout en fait. Tout plutôt que le fouet. Les deux géantes me regardent, elles semblent si loin. Je m'efforce de garder un bon rythme, mais je m'aperçois que j'ai oublié de compter. Je n'arrête pas, j'ai de bons muscles à cet endroit, et je peux effectuer de longs exercices.
— C'est bon, me dit tout à coup Sadia. Debout!
Je me replace en position devant elle. Alors, elle place son poignet horizontalement devant moi et me demande de m'y accrocher. Elle me soulève ainsi et place son bras tendu à hauteur de son épaule. Je suis suspendu.
— Tractions, me dit-elle. Au moins vingt.
Ca, je sais que je n'y arriverai pas. Je crois que j'arrive à quinze sans avoir les muscles déjà fatigués. Je commence donc, et j'y trouve une certaine excitation, ainsi nu accroché à un bras de femme recouvert de cuir noir. Je me tire et me laisse descendre lentement. Elle me regarde, prête sans doute à me frapper. Heureusement, de près le fouet est moins douloureux. Je m'essouffle, ...