L'invasion Ch. 13
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... souffler, mais le terrible fouet de Sadia rappelle mes fesses à leur bon souvenir.
— Debout, et cours, je ne t'ai pas autorisé à te reposer.
— Mais Sadia, sangloté-je en me relevant, combien de tours dois-je faire?
Un coup de fouet, puis un autre pour toute réponse.
— Pitié, arrêtez, supplié-je encore.
Mais les coups de fouet ne sont que la seule réponse. J'avance péniblement, et je reçois des coups jusqu'à ce que je sois enfin occupé à courir. Je passe devant la maison, plusieurs voisines sont venues observer ce qu'il se passe, à mon point, cela n'a plus d'importance, mon corps me fait mal, la course, je n'ai plus de souffle, et les coups de fouet laisse des douleurs tenaces. Avec appréhension, j'arrive dans le jardin. Sadia me regarde, son fouet à la main, elle discute avec Ayesha. J'ai peur. La douleur du fouet est la pire que j'ai eue. Alors que j'approche, Sadia fait encore claquer son fouet sur mon ventre cette fois. Je vois la marque, une zébrure horizontale sur mes muscles abdominaux. Pour une fois, je ne suis pas en érection, la course et la douleur sont trop fortes, heureusement, j'aurais eu le fouet sur mon sexe.
— Misérable, crie Sadia, viens ici!
J'approche, j'ai peur. Une femme d'une telle taille, fâchée. Je ne peux même pas m'enfuir, je m'en veux, pourquoi suis-je ici?
Sadia empoigne mon poignet et me tire près d'elle, puis elle attrape mes deux bras et me soulève d'une main pour que mon visage soit à hauteur du sien. Derrière elle, ...
... j'aperçois Ayesha qui a également un air fâché.
— Est-ce que je t'ai permis de t'arrêter?
— Non madame, pitié, je n'en peux plus.
— Tu 'en peux plus? Mais tu viens de commencer!
Elle me frappe le ventre avec son fouet roulé dans la main qui ne me tient pas.
— Pitié, pleuré-je, je ne sais pas combien vous voulez que je courre.
— Tu n'as pas à la savoir, tu as juste à courir. Maintenant, montre-moi ce que tu vaux aux pompages. Et ensuite les abdominaux.
Je suis bon sportif, mais ces femmes géantes demandent trop. Sadia me laisse tomber à ses pieds et je me mets en position. Je me sens petit et misérable ainsi traité par cette femme qui semble cruelle. Je commence alors que ma respiration et mes battements de cœur sont encore trop rapides. Je sais faire cela, très bien, je m'entraine beaucoup. Mais après une vingtaine de pressions, elle commence à crier parce que je ne vais pas assez vite, pas assez loin. Déjà un premier coup de fouet, qu'elle donne de près et la lanière s'enroule autour de ma taille. Je hurle en me laissant tomber sur le sol.
— Arrêtez, je vous en supplie, je n'en peux plus.
— L'exercice n'est pas fini, hurle Sadia, en position!
Elle me frappe encore, plusieurs fois, je ne tiens plus, je pleure, et pleure me fait honte, je pleure pour mon absolue faiblesse, mon impossibilité de me révolter, de m'enfuir. La douleur est trop forte, je ne tiens pas. Ayesha finalement intervient en prenant mes chevilles et en me levant ainsi la tête en ...