1. Un week-end torride. Dimanche


    Datte: 11/01/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, amour, volupté, intermast, facial, Oral pénétratio, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... Et faire l’amour en copain ça existe ? Il faut croire…
    
    o-o
    
    Voilà, arrivés. Je m’écroule dans son canapé pendant qu’elle range un peu son appart.
    
    Elle me propose un verre, se préoccupe de mon confort.
    
    — Je suis contente que tu sois là ! me dit-elle, fais comme chez toi, je prépare à dîner et je vais me changer.
    
    Plus tard, enjouée, alors que je m’absorbe dans un magazine elle me dit :
    
    — Tu me préfères comment ? Je veux dire, comment je m’habille ? Robe longue, pantalon, peignoir, sexy ou pas sexy ? Dis-moi…
    
    Je la regarde en souriant et provocant, pour la dérider :
    
    — Nue… slip et soutif, en bas ! T’as pas proposé !
    
    Elle rit, me menaçant d’un doigt.
    
    — Ah ça ! Ne me mets pas au défi ! Si tu veux le grand jeu ! Attention, tu assumes alors !
    — Quoi, j’assume… c’est à dire ? je réponds, narquois.
    — Tu assumes ! Tu sais bien…
    — Que je te saute dessus, que je te baise ! C’est ça ?
    
    Feignant la colère elle me lance :
    
    — Arrête ! Rien que ce mot ! Ah ! tu n’es pas sympa…
    
    Se reprenant, plus sérieuse, elle ajoute :
    
    — Bon je me débrouille. Aller on va passer à table, ressers-nous un apéro, corsé pour moi, ce soir, je bois !
    
    o-o
    
    Elle s’est changée. Une robe longue d’intérieur, soyeuse, boutonnée devant, de l’encolure au bas de l’ourlet. Un décolleté discret qui néanmoins laisse plus que deviner sa belle poitrine.
    
    — Voilà, tenue sage, pour un Monsieur qui sera sage, me dit-elle presque froidement.
    — Oh ! si c’est pour les boutons, avec un ...
    ... peu de patience ! la plaisanté-je
    
    Nous buvons, et elle se ressert. Elle rosit, ses yeux brillent…
    
    — Tu bois trop ! lui dis-je. Tu es belle dans cette robe ! Et dessous, t’es comment ?
    — Dessous ? Devine ! Si tu voyais, sûr, sur le champ, tu me violes !
    
    Nous sommes assis l’un à côté de l’autre sur le canapé. En riant je fais mine de regarder entre deux boutons.
    
    — Non, non… répond-elle en me repoussant mollement, on est sages, tant pis pour toi !
    — Si, si, insisté-je, montre ; montre juste un bout !
    
    En soupirant, elle défait trois boutons à la hauteur de la poitrine et écarte. J’entrevois un soutien-gorge blanc en voile transparent… la chair d’un sein. Sublime, le blanc ressortant sur sa peau de brune.
    
    — Hop ! ça suffit… s’écrit-elle en refermant, tu veux voir la suite ?
    
    Sa respiration se fait plus forte, elle s’excite.
    
    Elle défait trois nouveaux boutons, à la hauteur du haut des cuisses, écarte. Cette fois le slip boxer qu’elle acheté hier « pour moi », lui aussi assorti, également en voile blanc.
    
    Je siffle, admiratif.
    
    — Ouais ! Super, c’est vrai que…
    — Et enfin, regarde… susurre-t-elle en déboutonnant quelques boutons plus à mi-cuisses.
    
    Et là, c’est le haut de bas blanc que j’aperçois !
    
    La garce ! le catalogue complet, et elle voudrait que je sois sage !
    
    Je me rejette en arrière, troublé.
    
    — Tout ce que j’aime ! Bravo ! Tu es magnifique ! Ah ! Calmons-nous !
    
    Clara est ravie, ravie que j’apprécie et que cela m’énerve… Elle sait y ...
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