1. Un week-end torride. Dimanche


    Datte: 11/01/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, amour, volupté, intermast, facial, Oral pénétratio, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... festival des sens ! Un appel à monter à l’assaut…
    
    Elle frémit, geint, se tend, souffle comme attendant l’estocade, le moment où le point de non-retour sera atteint…
    
    À son tour ses caresses se font plus précises, plus pressantes mais contournent l’essentiel.
    
    Une lutte de nos corps, de nos âmes qui refusent et veulent à la fois, un jeu où aucun ne veut céder… espérant et craignant que l’autre fera le geste, la caresse de trop.
    
    — Jean-Pierre, non ! Non ! râle-t-elle
    
    Une bretelle de soutien-gorge qui se défait, un sein qui se libère, un téton qui soudain m’agresse… et puis simultanément une main qui me saisit au point sensible puis me relâche… Mes doigts aussi qui rencontrent une humidité qui s’épanche dans la chaleur de ses cuisses, la couture de son slip qui souligne la zone interdite, une phalange qui se glisse dessous, puis deux, puis la main…
    
    Qui va craquer ? Ce supplice est à son comble ! Moi je n’en peux plus… Clara est une braise qu’il faut éteindre !
    
    Brusquement, en grognant, d’un coup de rein elle se met sur le dos, écarte grand les cuisses, relève ses genoux et ses mains fourragent sous sa culotte.
    
    Alors elle m’attrape par les cheveux, m’attire à elle, sa bouche m’embrasse goulûment, et d’une main elle m’invite à la prendre.
    
    — Ah ! viens vite ! je…
    
    Mais trop tard ! Elle jouit toute seule en se recroquevillant sur elle-même, les mains au ventre, en lâchant un grand râle rauque, puis des soupirs.
    
    À genoux contre elle, ses mains ...
    ... m’empoignent me finissant dans ses doigts.
    
    Je m’oublie alors sur elle, inondant sa poitrine, ses bras, ses cheveux.
    
    En croix, sur le dos, essoufflée, encore frémissante, Clara récupère…
    
    Elle s’est essuyée et étalé le fruit de mon plaisir.
    
    Ainsi, dans sa lingerie chiffonnée, défaite et tâchée, elle offre un tableau que je ne suis pas près d’oublier !
    
    Elle me caresse le visage, passe un doigt sur mes lèvres.
    
    — On est fous hein ?! On ne voulait pas. Et puis… mais terrible ce jeu ! souffle-t-elle, je ne me souviens pas avoir été aussi excitée ! Je suis crevée !
    — Oui, nous sommes fous… dis-je songeur, en pensant à Laure.
    
    Clara doit le comprendre et se serre contre moi.
    
    — Ne t’inquiète pas, chuchote-t-elle, tu me rends heureuse. C’est déjà beaucoup, je te laisserai l’aimer, je ne demande rien, rien, ne t’inquiète pas…
    
    Un silence. Nous sommes bien tous les deux, mêlant nos respirations apaisées.
    
    — Tu m’acceptes pour la nuit ? Je n’ai pas envie de rentrer, lui demandé-je doucement.
    
    Elle rit, sans bouger.
    
    — Si tu n’as pas peur qu’au réveil on joue la deuxième mi-temps, oui…
    — Tu veux ta revanche ? Hein ? Comme tu as perdu la première…
    — Normal, j’ai perdu parce que tu as triché, coquin !
    — Quoi ? Avec tes trucs transparents, la dentelle ! Je ne suis pas un moine !
    — Et tes mains, tes doigts… je ne suis pas une sainte !
    — Ça, j’avais remarqué ! conclus-je, hilare
    
    Elle rit à nouveau et ajoute :
    
    — Allez, oui, reste ! Mais à tes risques et périls ...