1. Un matin très spécial


    Datte: 10/01/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail voyage, voiture, train, toilettes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, Auteur: Ptit Coeur, Source: Revebebe

    ... l’immense capharnaüm devant la gare… Et il faut ruser… Ils font vite… Ils sont dans une précipitation incohérente, on dirait des insectes sous un réverbère.
    
    Le taxi file dans la triste banlieue bruxelloise. Il est encore tôt… mais l’heure est le dernier de leur souci. Ils sont déjà repartis dans leur monde. Leurs mains sont incontrôlables. Elles s’infiltrent, elles dégrafent, elles caressent leurs corps incandescents. Le chauffeur fait bien sûr comme si de rien n’était. C’est un vrai pro, il fixe la route avec attention. De toute façon, dans son rétroviseur, il ne voit que la lunette arrière, non ? Alors elle glisse doucement sa main dans son pantalon et s’empare de sa bite chaude et palpitante. Il la veut aussi. Il s’immisce dans sa culotte pour enfin recueillir sa mouille et faire glisser ses doigts sur ses lèvres trempées et avides de caresses.
    
    Les rues défilent vite, trop vite… Il faut rester présentables… l’arrivée est proche…« 28,50 » annonce d’une voix monocorde le chauffeur, comme si de rien n’était.
    
    Reprendre un air pro… Pas de problème, ils ont l’habitude après tout. Passer du septième ciel à leur bureau est un exercice quasi quotidien. Passer l’accueil. S’enregistrer, trouver la bonne salle de réunion. Déserte… il n’y a pas un chat. Erreur ? Report ? Que se passe-t-il ? Retour à l’accueil.
    
    — Non, non, la réunion aura bien lieu à 9h comme prévu, pourquoi ?
    
    Il n’est que 8h35. Personne, pas un chat.
    
    Son sang ne fait qu’un tour. Elle se précipite ...
    ... vers les toilettes. Il est abasourdi.
    
    — Mais où vas-tu comme ça ?
    — Je vais me finir aux toilettes, j’en peux plus, tu te rends pas compte dans quel état je suis !
    
    Quoi ? Se finir aux toilettes toute seule ? Non mais ça va pas la tête !? Il la tire par la main chez les hommes et ils s’engouffrent dans la première cabine. Ils ne sont plus là, ils sont en apesanteur.
    
    En quelques secondes, elle a enlevé son pantalon et son string trempé. Elle se penche sur la cuvette, offrant son cul et sa chatte luisants de désir. Il ouvre sa braguette, laissant jaillir sa queue impatiente. Il la pénètre fougueusement, rapidement.
    
    — Vas-y, mets-la-moi bien profond, souffle-t-elle.
    — Oh oui, tu vas voir comme je vais te défoncer.
    
    Ses coups de reins rapides et saccadés claquent contre les fesses rougies de sa maîtresse. Ils aiment ça. Ils aiment ce bruit. Ils aiment cet abandon au plaisir et à la jouissance. Elle est rapide mais violente, d’une force inouïe. Ils s’écroulent ensemble, leurs jambes ne les portent plus. Ils tremblent et halètent. Ils sont fous, ils sont heureux, ils sont seuls au monde.
    
    Ce soir, dans l’intimité de leur chambre d’hôtel, ils vont enfin pouvoir laisser libre cours à toutes leurs envies. Leurs mains, leurs doigts, et leurs langues vont distiller les caresses, investir les zones les plus sensibles de leurs corps, les métamorphosant en bêtes frénétiques et avides de plaisir et de sexe. Le lit « king size », la baignoire double et la moquette pur laine ...