Un dimanche à la campagne
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
... sachant pas où elle était, j’attendais là debout lorsque je vis de la lumière et une porte s’ouvrir. C’était la porte des wc.
- Par ici, esclave, entre !
Elle était là, nue, face à la glace du lavabo, se mettant de la crème sur le visage. Elle avait un corps splendide, le ventre délicatement arrondi mettait en valeur sa féminité, des seins lourds qui comme par miracle, tenaient tout seul. Cette déesse représentait la quintessence des canons féminins.
• Je viens de chier, esclave, malheureusement je n’ai pas pu me retenir de pisser, alors j’ai pensé que tu aimerais me torcher le cul avec ta langue.
L’odeur dans cet endroit confiné, confirmait ses dires. Tétanisé, je restais debout, Je n’avais pas de problème avec l’uro mais je n’étais pas prêt pour la scato.
Nicole se retourna et me gifla de toutes ses forces en me disant d’une voix cinglante.
• Alors, vais-je devoir attendre longtemps comme ça ? Depuis quand un esclave se permet-il de faire le difficile ?
On ne m’avait plus giflé depuis ma tendre enfance, j’étais cramoisi, humilié et honteux que la femme que je désirais par tous les pores de ma peau me traite d’une façon aussi méprisante. Pourtant, cette gifle ne fit qu’exacerber mon désir. Alors, abandonnant toutes mes réserves, je me laissais tomber à genoux derrière elle. Ecartant ses globes parfaits, je constatais avec soulagement qu’il n’y avait pas d’accumulation de matières, juste quelques traces brunes odoriférantes.
Fermant les yeux, je ...
... repensais à la définition de l’esclave qu’elle m’avait confiée lors de notre rencontre au cocktail. « Un esclave à le devoir d’exécuter immédiatement les ordres de sa maîtresse, sans rechigner, et le droit de faire du zèle pour satisfaire ses caprices »
Abandonnant toute dignité, je jetais mon visage dans sa raie. L’odeur me monta aux narines, je sortis une langue timide. Le goût acre me fit avoir un haut le cœur mais je décidais de tenir bon.
L’odeur m’enivrait maintenant, m’habituant au goût, je léchais avec ardeur, traquant la moindre trace de bas en haut de sa raie, enfonçant ma langue dans son petit trou pour chercher d’improbables restes. De temps en temps, Nicole se penchait en avant pour s’approcher du miroir et tendait sa croupe par la même occasion, l’instant d’après, elle se redressait. Je suivais servilement tous ces mouvements. Mon visage et son cul ne faisant plus qu’un.
Je n’avais plus la notion du temps mais elle se retourna trop vite à mon goût. Me tapotant sur la tête comme on caresse un toutou, elle me félicita.
- Très bien, esclave, très bien, je suis contente de toi.
Le moindre de ses gestes avait de la grâce. Je la regardais comme on regarde une déesse, les yeux embués de reconnaissance pour ce compliment qui me remplissait de fierté. A cet instant, elle pouvait me demander n’importe quoi, j’étais prêt à lui obéir, à exécuter les actes les plus abjects sur un simple battement de ses cils.
Nous repartîmes vers la piscine, comme d’habitude, je ...