Il était une fois
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
coprolalie,
inithf,
fbi,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... ça. Encore. Suce-moi plus fort, le plus fort que tu peux. C’est bon, tu sais. Et toi, ta pine est redevenue grosse comme un bâton. Regarde-la, comme elle est belle. Je sens qu’elle va me faire bien jouir quand tu l’enfonceras dans ma chatte… Arrête, maintenant, viens te coucher près de moi.
Elle s’est étendue, jambes largement ouvertes. Je la regarde mais je regarde surtout sa moule qui laisse s’écouler doucement sa liqueur parfumée. Elle est bien rose, longuement fendue et surmontée de son bouton de rose qui semble virer au violet tant elle l’a frotté. Josée sourit d’aise.
— Je te plais ?
— Oh oui ! Beaucoup. Tu es belle comme ça. Je ne pouvais m’imaginer qu’une femme pouvait être si belle entre ses cuisses.
— Tu vois ce que c’est qu’une chatte de femme ? Regarde-la bien. J’adore me montrer et rien que de savoir que tu la vois, elle mouille. Je sens ma cyprine qui va s’écouler. J’aime quand tu me regardes. Je t’excite, hein !
— Bien sûr. Moi aussi j’aime te regarder. Je vois ta fente rose se mouiller de petites perles. C’est joli à voir. Elles brillent.
— Viens maintenant, viens me sucer le clitoris. Va doucement au début, c’est un endroit très sensible qu’il faut traiter avec une grande délicatesse. C’est chez une femme le centre du désir et du plaisir. Alors tu vas me faire jouir ainsi.
Je me couche près d’elle et me penche pour poser ma bouche entre ses cuisses grandes ouvertes. Je passe lentement la langue sur la fente en léchant le jus qui en sort. Josée ...
... se met à se tortiller en soupirant. Je continue à pousser le bout de ma langue vers la commissure des petites lèvres qui enflent. Je sens alors le petit bouton qui sort de son écrin de chair rose, comme mon gland sort du prépuce quand je bande. C’est ça ! Josée bande aussi. Je m’arrête, étonné. Ainsi, une femme aussi peut bander, même si elle n’a pas de bite. C’est par son clitoris que naît le plaisir. Je replonge ma langue et cette fois, je n’hésite pas, je lèche de tout mon cœur. Je me lance à fond et je me mets à sucer le clito de Josée comme si sa vie en dépendait.
— Oh oui ! Que c’est bon ! Comme tu suces bien ! Continue ! Je vois des étoiles. Ça me passe partout. Si tu continues, tu vas encore me faire jouir. Mais tu me fais tellement de bien. Et toi, tu n’as rien. Attends. Couche-toi sur moi à l’envers. Tu pourras continuer à me sucer la chatte pendant que je te ferai bander. J’aime bien sentir une bite gonfler dans ma main et dans ma bouche. La tienne est déjà grosse. Pourtant tu as déjà craché ton jus mais j’ai envie de te sucer très fort, de faire grossir ta pine et tu me la mettras bien loin dans ma moule.
Ainsi dit, ainsi fait. Je m’étends à l’envers sur Josée qui sans attendre, attrape ma queue dans sa main et se met à la masser merveilleusement avec douceur. Elle découvre le gland puis le recouvre tandis que sa langue glisse le long de la veine, s’arrête sur les couilles. Elle ouvre sa bouche et les engloutit d’un seul coup, tout en frottant ses deux mains ...