1. Vacances 2018 (3)


    Datte: 07/01/2021, Catégories: Erotique, Auteur: dominic47, Source: Xstory

    ... se remet à peine de cette surprise que Christine est devant elle, mains sur sa poitrine. Elle la caresse, la maltraite, la claque, puis aspire un téton, l’autre, Ophélie souffle, geint, pour enfin crier. Une pince à linge vient de se fixer sur son mamelon. Le souffle court, elle récupère lentement lorsque son deuxième sein subit le même sort, elle hurle de nouveau.
    
    A ce stade, Ophélie ne sait pas qui lui fait quoi et surtout la cagoule l’empêche d’appréhender ce que cette femme ou Christine vont lui faire.
    
    Christine prend alors la laisse pour la conduire vers le canapé où elle la dispose, genoux sur l’assise, écartée outrageusement, tête sur le dossier. Quelques poils cachent encore le clitoris, et c’est sur lui qu’elle décide de porter son attention. Elle lubrifie son majeur avec la cyprine qui s’écoule, débusque le berlingot, le flatte puis tourne autour lentement. Rapidement, Ophélie soupire, gémit puis geint et lorsqu’elle s’apprête à jouir, Christine l’abandonne.
    
    Elle poursuit néanmoins le programme qu’elle s’est fixé : lui faire monter le désir à la limite du supportable et la délivrer par un ou plusieurs orgasmes quand elle le décidera. Pour cela, elle passe du chaud au froid, d’empressement à lenteur, de violence à tendresse.
    
    Les claques reprennent sur les fesses d’Ophélie. Les premières sont légères ; mais rapidement, elles deviennent sèches, les cris fusent, les larmes coulent, Ophélie supplie. Christine s’arrête enfin.
    
    Après une absence de quatre ...
    ... cinq minutes, les gants enduits d’huile essentielle, elle revient, caresse les fesses longuement, masse, malaxe. Elle joue ensuite avec le plug, puis, changeant de rythme, elle lui enlève pour le remplacer immédiatement par un doigt. Sans fioritures, elle l’enfonce à fond, Ophélie se cambre. Christine reste dans cette position quelques instants, entame ensuite un limage en règle, ajoute un deuxième doigt, assouplit l’œillet et recommence à la doigter lentement, puis de plus en plus vite. Encore une fois, elle cesse ces tracasseries lorsque le plaisir monte et sa belle-sœur, croupe offerte telle une femelle en chaleur, crie sa frustration.
    
    Christine n’oublie pas pour autant sa « victime ». Elle est à point, la sarabande de jouissances peut commencer.
    
    En premier, elle lui enfonce deux doigts dans la fente humide, les agite frénétiquement ; et au moment où elle sent Ophélie partir, elle se déchaîne sur le clitoris. La jouissance éclate dans un cri, son corps se détend. Ophélie voudrait savourer cet orgasme, cependant, Christine continue à titiller son bouton en feu. L’excitation ne baisse pas. Elle coule abondamment ; aussi, sa belle-fille en profite pour saisir le phallus artificiel qu’elle enfourne d’une seule traite dans les profondeurs du vagin. Ophélie en a le souffle coupé. Elle sent maintenant l’énorme godemiché qui bouge en elle, sa vulve l’aspire, elle est remplie. Et puis, d’un seul coup, tout éclate. Elle crie sa jouissance, inonde de jute le canapé et hurle ...