Vacances 2018 (3)
Datte: 07/01/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: dominic47, Source: Xstory
... d’Ophélie en même temps que celle-ci la doigte. Sa belle-sœur prend l’initiative de lui faire l’amour. Christine jouit sous les attentions de sa chérie ; or, elle n’accorde pas à celle-ci le retour qu’elle espère. Elle explique à Ophélie qu’elle lui a prévu une surprise, mais pour cela, même si elle est frustrée maintenant, elle doit patienter jusqu’au soir.
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Elles viennent de prendre leur repas et se dirigent vers le salon quand Christine demande à sa belle-sœur de s’asseoir dans le canapé, de ne pas bouger. Immédiatement, l’adrénaline envahit le corps d’Ophélie, une douce chaleur irradie toute sa personne, son imagination galope, aussi, lorsque sa belle-fille revient et se place derrière le canapé, elle frissonne.
— Enlève ton chemisier.
Christine lui demande ensuite de mettre ses mains derrière son cou, lui attache les poignets avec des menottes qu’elle accroche à l’anneau au dos du collier, lui enfile la cagoule de soumise, et attache la laisse. Enfin, elle passe devant le canapé, fait lever Ophélie pour lui ôter le reste de ses vêtements et l’amener au centre de la pièce.
— Tu es très belle, ma chérie ; patiente quelques instants, je reviens !
Christine se dirige vers la porte d’entrée, patiente dix minutes, ouvre celle-ci, appuie sur la sonnette et referme la porte. Elle attend encore cinq minutes, chausse de hauts talons, prend un foulard qu’elle vaporise d’un parfum capiteux, et revient vers Ophélie. A deux mètres de celle-ci, elle enlève ...
... délicatement les escarpins, agite l’étoffe devant la tête de sa chérie, le pose à terre et se déplace pieds nus derrière celle-ci. Avant de lui placer le casque Bluetooth sur les oreilles, elle se penche pour lui dire :
— Fais-nous plaisir ; écarte un peu les jambes, ma chérie... Un peu plus... Oui, c’est parfait.
Debout au centre du salon, Ophélie est fébrile, l’attente est insupportable. Aussi, quand elle entend des chaussures de femme venir vers elle un frisson la parcourt. Elle a peur, ses jambes flageolent. Quelle est la personne dans la pièce ? Avec les écouteurs sur les oreilles, plus aucun bruit ne lui parvient à part la musique, aussi, elle cherche jusqu’au moment où son odorat décèle un parfum. Cet effluve, elle l’associe immédiatement à la boutique de ce matin, cette dame en cuir, ces yeux qui pétillent, ce regard carnassier. Que va-t-elle lui faire ? Quand soudain un objet titille sa vulve, appuie sur l’entrée de sa grotte, la quitte, puis se retrouve sur sa bouche et force l’ouverture. Ophélie l’ouvre doucement, mais ce qui se présente à elle est gros. Elle doit écarter les mâchoires aux trois quarts de ces possibilités pour y laisser pénétrer ce phallus artificiel. Une main, ou plus exactement une main gantée lui resserre les lèvres, elle doit le sucer.
Le va-et-vient ne dure que peu de temps, tout juste pour prendre connaissance avec ce jouet ; car à peine remise de cette intrusion, elle sursaute et laisse échapper un cri. Une main claque son derrière. Elle ...