1. Une étudiante à sa fenêtre


    Datte: 04/01/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Lesbienne Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... instants, puis je suis sortie du cadre de la fenêtre pour réfléchir en me mordant un doigt. J’avais le numéro en tête. J’ai de nouveau baissé ma braguette et je me suis mise un doigt dans le vagin, doucement. J’étais trempée. Ensuite, je me le suis enfoncé dans l’anus, pas très profond, en me récitant le numéro de téléphone et en imaginant ce qui pourrait se passer, si jamais je le composais.
    
    Je me suis enfoncée le doigt plus profond dans le cul, puis je l’ai sucé. Je l’ai remis et je suis revenue à mon vagin, puis mon clito. J’ai nouveau sucé mon doigt et je l’ai essuyé avec mon short.
    
    Puis j’ai composé le numéro avec le cœur qui battait à ton rompre dans ma poitrine. Il y eut deux sonneries, puis on décrocha :
    
    « Allo. »
    
    « Bonjour, dis-je. »
    
    « Bonjour. Comment t’appelles-tu ? »
    
    J’avalai ma salive et répondis à voix presque basse :
    
    « Déborah. »
    
    « J’aime beaucoup ce prénom. Moi, c’est Pierre. »
    
    Je ne répondis rien et il y eut un petit moment de silence.
    
    Puis l’homme reprit :
    
    « Tes seins sont magnifiques, Déborah. »
    
    « Merci. »
    
    « Tu as aussi une très belle toison. Ce n’est pas très courant, il me semble, les filles de ton âge qui ne s’épilent pas. »
    
    « Oui, c’est vrai. »
    
    Un court silence, puis la voix reprit :
    
    « Dis-moi, Déborah, je préfère le mot chatte au mot toison. Est-ce que cela te choque ? »
    
    « Non. »
    
    « Dans ce cas, tu as une belle chatte, Déborah. »
    
    « Merci. »
    
    « Pourquoi me l’as-tu montrée ? Dis-moi… »
    
    J’ai ...
    ... de nouveau ravalé ma salive, en cherchant mes mots. Puis je me suis assise au bord de mon lit. L’homme ne pouvait pas le voir depuis chez lui.
    
    J’ai dit :
    
    « Vous m’aviez déjà un peu vue, accidentellement, et je me suis rendue compte que ça ne m’avait pas déplu, alors… »
    
    « Alors tu m’as montré ta chatte. »
    
    « Oui. »
    
    « C’est bien, dit l’homme. Ça me fait très plaisir et je te remercie pour ce moment très intense. »
    
    « De rien, dis-je. »
    
    Il soupira dans son combiné et il y eut un nouveau silence. J’en profitai pour glisser un doigt dans mes poils, puis l’homme reprit :
    
    « Déborah, apprécies-tu les mots crus ? »
    
    Je mis quelques instants à répondre :
    
    « Oui. »
    
    « Et les mots très crus ? »
    
    « Oui. »
    
    « Les injures, tu aimes ça ? »
    
    Mon doigt s’achemina en lisière de mon clito :
    
    « Oui. J’aime ça. »
    
    Un court silence, puis la voix murmura :
    
    « Tu es un peu pute, Déborah ? »
    
    « Oui. »
    
    « Dis-le moi. »
    
    « Je suis un peu pute. »
    
    « Seulement un peu ? »
    
    « Non, dis-je en me cambrant pour faire descendre un peu mon short, de sorte à mieux me branler. Je suis pute. »
    
    « Tu te prostitues ? »
    
    « Non. »
    
    « Non, dit l’homme, mais tu es pute quand même. »
    
    « Oui. »
    
    « Putasse, même, non ? »
    
    « Oui, putasse. »
    
    « Dis-le-moi encore. »
    
    « Je suis une putasse. »
    
    « Que fais-tu à cet instant, Déborah ? »
    
    « Je me touche. »
    
    « A quel endroit au juste ? »
    
    « Le clitoris. »
    
    « Tu te touches ton clitoris de putasse ? »
    
    « Oui, ...
«1...345...8»