Les caresses de la forêt
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
fh,
ff,
extracon,
inconnu,
forêt,
voiture,
intermast,
pénétratio,
conte,
fantastiqu,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Cédrixx, Source: Revebebe
... l’hallucination disparaître, mais l’image se maintenait devant moi, et je sentais avec un étonnement mêlé de honte mon sexe commencer à durcir devant ce tableau improbable.
— Chérie… qu’est-ce que tu fais… parvins-je à balbutier, assez stupidement, je dois dire.
À mes mots, l’inconnue écarta son visage de ma femme, qui renversa la tête en arrière sur la banquette en gémissant, et se tourna vers moi. Elle me rappelait bizarrement la vieille femme que nous venions de recueillir : son visage était pourtant bien plus jeune, ses cheveux étaient blonds, son corps souple et charnu, et ses yeux clairs pétillaient de sensualité… mais malgré tout, je ressentais une impression de ressemblance terrible avec la vieille dame. Lorsqu’elle parla, sa voix me sembla provenir d’un lieu très lointain, comme apportée par le vent.
— Ta chérie… je suis en train de lui faire du bien… et elle aime… elle aime qu’une fille s’occupe d’elle… Hein chérie ?
— Mouiiiiii… continuuuue… oooooh ouiiiii…
C’était bien ma femme qui gémissait ainsi, d’une voix noyée d’extase, réclamant les caresses de son amante inattendue. Celle-ci se retourna vers ma femme, et, abandonnant définitivement sa bouche, plongea ses lèvres dans le col de son pull vers la poitrine de mon épouse, à qui un long râle de plaisir échappa.
— Vous aimez qu’on s’occupe bien de votre femme, hein.
La voix de la vieille femme, toujours aussi claire, me fit sursauter. Un instant, il me sembla la voir, assise sagement à sa ...
... place sur la banquette arrière avec son énorme sac entre les jambes, à côté de ma femme, qui, elle, était renversée la tête en arrière sur le dossier, les cuisses ouvertes dans une position obscène, les tétons dressés sous le pull, et la braguette béante… Puis, presque aussitôt, comme ces images qui changent lorsqu’on les regarde sous un autre angle, la vieille disparut au profit de la jeune femme et la braguette de ma femme se remplit à nouveau de la main de cette inconnue qui la masturbait. Cependant, la voix de la vieille femme continuait de résonner à travers la voiture, aussi clairement que si elle avait été contre mon oreille.
— On va vous faire un peu de bien parce qu’elle a été gentille avec moi, votre femme. Alors, je vais être bien gentille avec elle… Vous aussi vous êtes gentil.
À cet instant, ma femme commença à pousser un grand soupir que je savais annonciateur d’un orgasme proche. Cependant, ses soupirs se prolongèrent, devinrent de véritables cris, tandis que son corps ondulait comme un arbre dans une tempête. Des paroles se mêlaient à ses gémissements de plaisir.
— Ooooh oui continue… Oh oui comme ça ma chérie… Ooooh c’est divin… Aaaah c’est trop bon… Aaaaah oui… Oooooh non… aaaaaaah !
Soudain, mon épouse se redressa, écarquilla les yeux, et poussa un interminable cri guttural. C’était un vrai hurlement de jouissance primale, comme je ne lui en avais jamais fait pousser, un cri rauque de bête, un orgasme à l’état pur. Elle resta comme ça, les yeux ...