Les caresses de la forêt
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
fh,
ff,
extracon,
inconnu,
forêt,
voiture,
intermast,
pénétratio,
conte,
fantastiqu,
merveilleu,
fantastiq,
Auteur: Cédrixx, Source: Revebebe
... soulever ça !
Ma femme était allée jusqu’au sac, et grimaçait en essayant de le porter. Je suis sorti de la voiture pour l’aider. J’étais totalement d’accord avec elle, et même assez indigné que cette pauvre femme ait à marcher avec ce sac qui s’avéra en effet monstrueusement lourd. À nous trois, nous parvînmes à le traîner jusqu’à la voiture. Ma femme voulut faire monter l’inconnue âgée à l’avant, mais celle-ci refusa, et tint absolument à aller s’asseoir sagement à l’arrière, avec son sac énorme entre les jambes.
— Très bien, alors, dit ma femme, dans ce cas, je vais venir à l’arrière avec vous.
Inutile de protester, et je préférais d’ailleurs que quelqu’un soit à côté de la vieille dame, qu’après tout nous ne connaissions pas.
J’attendis que les deux ceintures de sécurité fussent bouclées pour démarrer. Ma femme tentait d’engager la conversation avec la vieille inconnue, sans rencontrer d’ailleurs beaucoup de succès. Je me concentrai sur la route, qui était assez étroite et sinueuse.
Après quelques minutes de conduite, je réalisai soudainement que le silence s’était fait à l’arrière… Un silence seulement troublé par quelques étranges respirations plaintives. Me demandant si la vieille femme souffrait, je jetai un coup d’œil au rétroviseur, mais je ne parvins pas à voir ce qui se passait sur la banquette arrière. Profitant d’un instant où la route était droite, je me retournai pour avoir une vision plus précise. L’image que j’entrevis pendant quelques ...
... instants me parut tellement absurde que je freinai aussitôt, immobilisai la voiture sur le bas-côté, et me retournai entre les deux sièges pour regarder sans y croire la scène impossible qui s’offrait à moi.
Il n’y avait plus trace de la vieille femme, ni de son sac, sur la banquette arrière. À la place, une très belle jeune femme d’une vingtaine d’années, vêtue d’une petite robe claire assez courte, était serrée contre ma femme. L’une de ses mains disparaissait dans la braguette grande ouverte du jean de mon épouse et s’activait visiblement entre ses cuisses. Son autre bras entourait les épaules de ma femme, et revenait caresser l’un de ses seins à travers son pull. Enfin sa bouche… sa bouche était plaquée sur celle de mon épouse, et toutes deux semblaient en train d’échanger un long baiser. Les soupirs plaintifs que j’avais entendus étaient les gémissements de plaisir étouffés de ma femme, dont je voyais le corps frémir sous ces caresses invraisemblables. Je voyais ses tétons pointer sous son pull, et son bassin ondulait doucement, accompagnant les mouvements du poignet de cette parfaite inconnue.
Je restai complètement immobile, incapable de proférer le moindre son ou d’esquisser le moindre geste. Ma femme et moi n’avions jamais eu de désaccord sexuel, n’avions jamais ressenti le besoin d’ajouter un partenaire supplémentaire à nos ébats… et de plus je n’avais jamais entendu ma chérie faire preuve du moindre penchant lesbien. Je clignai plusieurs fois des yeux, espérant voir ...