1. L'humiliation


    Datte: 03/01/2021, Catégories: f, fh, cocus, telnet, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, fouetfesse, Auteur: Poisonpen69, Source: Revebebe

    ... m’avait surprise, il savait tout et avait monté cette mise en scène. Je sentis la honte m’envahir et les larmes me venir aux yeux.
    
    — Ne pleure pas. Au contraire, profite. Je vais la prendre en levrette. C’est le moment que tu adores.
    
    La jeune femme se releva et se retourna. Elle était très jeune et m’adressa un large sourire narquois tout en caressant la chatte. Elle se mit en position. Mon mari prit une cravache et la lui passa lentement sur la raie des fesses. Je restai toujours interdite. Le ton se fit plus pressant.
    
    — Espèce de pute, je t’ordonne de mettre tes cuissardes et de te branler pendant que je me tape cette chienne.
    
    Hypnotisée, je me reculai vers la table basse, sans pouvoir détacher les yeux de la scène. Le désir montait en moi malgré l’humiliation. J’aurais dû partir en courant mais je savais que je ne résisterai pas. Je me déshabillai lentement puis j’enfilai mes bottes. Mon mari avait déjà pénétré la fille.
    
    — Elle est vraiment bonne, tu sais, elle suce comme une reine et me la taper devant toi, c’est vraiment divin.
    
    Je ressentais une étrange impression d’être voyeuse « en chair et en os ». Je dirigeai ma main vers ma chatte mais j’hésitais à me caresser.
    
    — Vas-y, ma chérie, n’aie pas honte, tu as ma permission. Maintenant je vais l’enculer devant toi. Tu n’aimes pas cela, te faire enculer mais elle, elle adore. N’est-ce pas, Noémie ?
    
    La fille acquiesça de la tête.
    
    — Oui, surtout quand on m’encule fort.
    — Mais où ai-je la tête ? ...
    ... J’ai oublié de faire les présentations. Ma chérie, je te présente Noémie. Voici, Alexandra, ma femme, qui adore les cuissardes et mater les vidéos pornos.
    
    Je vis mon mari poser son gland sur l’anus de la fille et commencer à l’enculer. Mon mari tirait sur sa longue natte rousse pour relever la tête de sa partenaire comme une pouliche. Elle me faisait des clins d’œil en passant lentement sa langue sur ses lèvres et en se caressant la poitrine. Elle ahanait.
    
    À l’envie que je ressentais en tant que voyeuse, s’ajoutaient la honte et la jalousie mais je sentais imperceptiblement qu’elles décuplaient mon plaisir. De grosses larmes d’enfant punie coulaient sur mes joues. Je mis mon talon sur la table basse pour mieux faire pénétrer et coulisser le godemiché dans ma chatte brûlante. J’excitai mes tétons avec la cravache. Je sentais que le spectacle indécent que je montrais rendait mon mari fou ; je tenais en quelque sorte ma vengeance. Il ne se contrôlait plus et avait perdu de sa morgue. Je sentais quelque part que je reprenais le dessus. Il pilonnait maintenant la fille avec une violence inouïe, haletant comme une bête. Elle criait maintenant. J’espérais que c’était des cris de douleur.
    
    Mon orgasme vint tout d’un coup, je ne pouvais plus me contrôler, je ne sentais plus mes jambes, je n’entendais plus rien tant ma jouissance était forte.
    
    Je ne repris mes esprits que quelques minutes plus tard. Noémie avait disparu. Mon mari s’était rhabillé et me regardait, affalée sur le ...