L'humiliation
Datte: 03/01/2021,
Catégories:
f,
fh,
cocus,
telnet,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
fouetfesse,
Auteur: Poisonpen69, Source: Revebebe
... vêtue de ses seules cuissardes et la caméra s’attardait sur la croupe de la femme. Ce type de scène déclencha comme d’habitude mes premiers émois, contrairement à la bourgeoise voyeuse qui restait impassible. Je commençai à me masturber plus énergiquement.
L’homme gémissait et semblait prêt de l’explosion. Il arrêta la fellation, fit grimper la jeune femme à quatre pattes sur le canapé pour la prendre en levrette.
À cet instant, je crus entendre un bruit derrière moi dans la maison. J’éteignis l’ordinateur, geste un peu idiot car quiconque m’aurait vue dans la tenue dans laquelle j’étais, accroupie avec mes cuissardes et mon godemiché dans le sexe, aurait pu se douter que je ne visitais pas le site deLa Redoute. Je restai un moment immobile, à l’écoute du moindre bruit mais je n’entendis plus rien. Fausse alerte. Cet intermède m’avait fait retomber rapidement et j’écourtai avec regret la séance du jour. J’étais désormais plus prudente et je fermais à clé la porte du bureau.
Trois semaines plus tard environ, j’avais rendez-vous avec mon mari pour visiter un nouvel appartement. Nous étions en effet un peu à l’étroit dans le nôtre depuis la naissance des enfants. Je devais le retrouver sur place puisqu’il s’y rendait depuis son lieu de travail. L’appartement se trouvait dans un immeuble parisien assez cossu. Je sonnai et la lourde porte d’entrée de l’immeuble s’ouvrit. Je pris un petit ascenseur typique des vieux immeubles parisiens pour monter au troisième ...
... étage.
Je fus un peu surprise de trouver la porte de l’appartement entr’ouverte avec un post-it sur lequel étaient inscrits les mots : «Entrez, je suis là ». Je poussai la porte pour entrer dans un vestibule. Personne. J’hésitai à demander à voix haute s’il y avait quelqu’un. Je ressentais un peu d’embarras, me demandant si je ne m’étais pas trompée d’appartement. Je crus entendre des bruits étouffés au fond du vestibule. Je m’avançai sur la pointe des pieds pour ne pas faire craquer le parquet.
Avec effroi, je vis des objets posés sur une table basse et je les reconnus immédiatement : mes cuissardes, un de mes godemichés et une cravache. Je n’en croyais pas mes yeux. Je ne m’étais pas aperçue que les bruits que j’avais entendus se faisaient maintenant plus précis. Tout d’abord, je n’osai pas ouvrir la porte entrebâillée mais la curiosité était trop forte. Je poussai le vantail de la porte du bout des doigts et restai interdite.
Un homme en face de moi se faisait sucer par une femme rousse, les cheveux coiffés d’une longue natte, accroupie en cuissardes rouges, et cet homme était mon mari.
— Mais entre donc, ma chérie, finit-il par me dire avec un large sourire. Tu es choquée ? Pourtant c’est ce que tu regardes tous les après-midis sur ton ordinateur. Tu as vu, je t’ai apporté tes jouets comme cela tu pourras faire comme à la maison.
Étais-je en train de rêver ? Je n’arrivais pas à détacher les yeux de la scène. Je compris enfin. Le bruit, cet après-midi-là. Mon mari ...