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Comment une belle plante m'a mis cul nu en cours de gym (2)
Datte: 03/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory
... J’avais beau tenté de rester stable sur mes deux jambes, j’étais ballotté par ses mains puissantes et aucune partie de mon corps ne leur échappa. Même la raie de mes fesses fut scrupuleusement nettoyée. Quand elle estima mon hygiène parfaite, elle me tendit la bouteille de gel. — A toi de me nettoyer ! Je mis deux grosses noix de gel dans mes petites mains pour couvrir la surface du corps colossal de Nadine. Je commençai par ses fesses et ses cuisses que je n’avais pas encore touchées. Elles étaient dures comme du béton. Je poursuivis en agitant mes petites mains contre son dos puissant dont les muscles roulaient sous sa peau, puis, me mettant sur la pointe des pieds, je frottai ses larges épaules de déménageur. Je passai ensuite du côté face et remis du gel dans mes mains pour nettoyer ses énormes melons que j’avais souillés de ma semence. Je ne me lassais pas de leur contact ferme. Ils luisaient, glissants et humides, sous la lumière blafarde des néons. Ma main s’approcha de l’entrejambe de la géante que ma timidité me fit contourner. Nadine s’en rendit compte et saisissant fermement mon petit bras, elle me guida vers ses lèvres humides que je frottai d’abord en douceur, puis de plus en plus rapidement. La belle frémissait de plaisir et ses gémissements se faisaient de plus en fort, au fur et à mesure que le plaisir montait en elle. Guidant à nouveau ma petite main sur le devant de son sexe, elle me fit découvrir son clitoris. A peine j’avais touché ce détonateur ...
... du plaisir qu’elle emprisonna ma tête au creux de son coude pour me plaquer contre son sein. — Continue comme ça avec ta main et lèche-moi les seins en même temps ! J’obéis aux ordres de ma maîtresse et activai à la fois ma petite main sur son clito et ma langue sur ses seins. Après quelques minutes de ce traitement, la géante explosa de plaisir et manqua de m’étouffer tant elle me comprimait contre sa poitrine. Quand elle relâcha son étreinte, je tombai par terre à quatre pattes pour reprendre mon souffle. Nadine se pencha et comme elle aimait tant le faire, me saisit sous les aisselles pour me plaquer contre sa poitrine, soutenant mon poids dans une seule de ses grandes mains, me berçant tendrement. Elle me déposa sur le banc où elle sécha vigoureusement mon petit corps dans son immense serviette. Nous nous rhabillâmes et sortirent du gymnase. Quelques-uns de mes camarades de classe traînaient dehors et nous regardèrent les yeux exorbités quand ils virent que nous nous tenions la main. Arrivés au bout de la rue où chacun devait partir de son côté, Nadine se pencha pour me tendre ses lèvres et nous embrassâmes pour nous dire au revoir. Elle me chuchota à l’oreille: — Mets ta main sur mes fesses, ils vont en mourir de jalousie ! Je m’ exécutai et mis ma petite main sur ses larges fesses, dures comme de l’acier. Mes collègues devaient baver devant ce que la belle m’autorisait ! Je ne me souviens même pas du trajet jusqu’à la maison tant j’étais absorbé par ...