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Comment une belle plante m'a mis cul nu en cours de gym (2)
Datte: 03/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory
Les images de la vidéo tournaient dans ma tête, parfois pendu en l’air par la seule force de ses mains, parfois rampant quasi nu à ses pieds, parfois plaqué la tête en bas contre ses seins titanesques, parfois les fesses à l’air dans le couloir. J’attendais dans l’obscurité du vestiaire que tout le monde parte pour sortir de ma cachette quand la porte s’ouvrit. Même si j’étais ébloui par la lumière, je devinais sans difficulté à qui appartenait la large silhouette qui se dessinait. C’était Nadine. Perchée sur des talons qui n’étaient pourtant pas si hauts, sa tête touchait presque l’encadrement de la porte. Elle portait une robe blanche trop petite pour elle. Il faut dire qu’avec sa croissance rapide, ses vêtements n’avaient pas le temps de suivre. Elle sortait de la douche et sentait bon le jasmin. Ses cheveux pas tout à fait secs couvraient ses épaules de déménageurs. Elle ne s’était pas embarrassée de sous-vêtement et la manière dont son énorme poitrine nue et humide tendait le tissu ne laissait pas de place à l’imagination quant au volume colossal et à la fermeté de ses seins. Elle alluma la lumière et me vit assis, recroquevillé, les yeux rouges, dans un coin du vestiaire. — Je te cherchais partout, je voulais vraiment m’excuser de t’avoir fait subir une telle humiliation. Je m’attendais à ce que tu sois plus lourd et que tu me donnes un peu plus de fil à retordre, mais tu es léger comme une plume ! Combien pèses-tu ? — Je fais 45 kilos. — Seulement ! C’est ...
... vrai que je peux soulever quatre gringalets comme toi au développé couché, et plus de deux au-dessus de ma tête. Tu es si léger ! La belle s’était rapprochée de moi et je levai la tête pour la regarder de mes yeux rougis par les larmes. Son doux visage apparaissait en haut de la profonde vallée formée par ses seins et je distinguais sa toison brune à hauteur de mes yeux sous sa robe transparente. Je me sentais encore plus faible face aux statistiques qu’elle venait d’énumérer, moi qui avais du mal à porter un pack de lait. Cherchant à se justifier, elle poursuivit son monologue. — J’ai l’habitude de chahuter avec ma petite sœur et je dois quand même mettre un peu de force pour la plaquer au sol. Tu ne m’as pas donné le dixième de sa résistance ! Il faut dire qu’elle doit bien avoir 20 kilos de muscles de plus que toi. Ça fait déjà quelque temps qu’elle a dépassé les 60 kilos. Tu n’aurais probablement aucune chance contre elle et elle te soulèverait aussi comme une plume. Je ne sais pas ce que cherchait Nadine, mais je blanchissais au fur et à mesure de ses paroles. Savoir que j’avais moins de force qu’une gamine et que je perdrai probablement à lutter contre, elle ne m’aidait pas vraiment. Nadine était aussi maladroite dans sa tentative de me rassurer que dans ses capacités à contrôler sa force. L’amazone s’en rendit compte. — Pardon ! Je suis vraiment une catastrophe, un vrai éléphant dans un magasin de porcelaine. Tu sais, ce n’est pas toujours facile pour moi ...