1. L'Abattage Isabelle. (1)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Zap80, Source: Xstory

    ... cavaliers différents, elle commençait à souffrir de la position, et ça se voyait.
    
    — Mettez lui des coussins sous les genoux. Faut pas l’abîmer, on en a encore besoin !
    
    Le défilé dura encore une bonne demi-heure, et tout le monde pût passer au moins deux fois tant par l’avant que par l’arrière. Chacun avait sa technique pour chevaucher la bête. Certains la tenaient par les reins pour assurer une bonne prise, d’autres les paumes posées sur ses fesses, d’autres encore ne la tenaient pas du tout.
    
    Pour les pénétrations buccales, c’était pareil, il y avait ceux qui lui tenaient la tête les paumes sur les oreilles, ou les mains sur l’arrière de la tête, par les cheveux...
    
    Mais tous avaient le même but : placer leur queue au chaud, le plus profond possible. Et pour ça Isabelle pouvait les satisfaire.
    
    C’est là que, n’y tenant plus, l’un des plus jeune explosa littéralement dans la joues de ma belle-sœur. Bien sûr elle l’avait senti monter et s’était préparée à accueillir cette première dose.
    
    Elle avait fortement serré les lèvres sur sa verge et lui avait masé le gland de sa langue un peu râpeuse. Mais alors qu’il lui ensemençait la bouche, il se retira en disant :
    
    — Désolé Madame mais j’en peut plus.
    
    Il se retirait, et tandis qu’elle avalait goulûment ce nectar
    
    — C’est pas grave, mais revient un peu
    
    Il s’exécuta, elle fini de lui vider son distributeur de sperme qui déjà commençait à ramollir. Elle lui massait les couilles comme pour s’assurer qu’il n’y ...
    ... avait plus rien à soutirer.
    
    Un des assaillants s’assit sur le canapé, sa grande verge raide et luisante en attente, et dit :
    
    — Amenez la moi les gars !
    
    Elle fût donc conduite à Monsieur et assise sur son sexe érigé qui disparu jusqu’aux couilles dans son vagin déjà tout dilaté.
    
    Mais ça ne convenait pas pour le jeune homme qui l’attrapa par les hanches, la souleva pour se dégager, la décala légèrement vers l’avant et :
    
    — Hep, hep hep ! Tu rigoles ! Pas par là Mamie !
    
    — M’appelle pas Mamiiiiiiii
    
    Il ne lui laissa pas l’occasion de finir sa phrase. La dernière syllabe glissa en même temps que le pieux dans son anus. Il attrapa les deux coté de sa salopette et tira si violemment que ses boutons sautèrent comme les bouchons d’une bouteille de champagne trop chaude.
    
    Il posa les mains sous ses fesses qu’il écarta et la souleva de quelques centimètres. Il pouvait ainsi, par grand coups de reins, entrer et sortir à sa guise dans les entrailles d’Isabelle qui gémissait.
    
    Avec ses deux index, il lui écarta largement le vagin.
    
    — Les mecs, venez voir comment ça travaille une chatte de vieille quand on l’encule.
    
    Les autres se postèrent devant Isabelle qui se faisait empaler, la chatte rose béante, ouverte. On aurait pu mesurer la taille de la bite par la bosse qui progressait et repoussait son intimité. On lui voyant son tunnel vaginal qui se refermait de l’intérieur à chaque fois que le sexe de son locataire du dessous y entrait.
    
    Et pour un tunnel, c’était ...