1. L'Abattage Isabelle. (1)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Zap80, Source: Xstory

    Isabelle était allongée là, sur la table du salon en chêne massif.
    
    Ses grandes lunettes rondes, couvertes de sperme, en vrac sur son visage, lui aussi enseveli sous une épaisse couche de ce liquide épais qu’elle aimait tant.
    
    Les fines montures noires en plastiques étaient à peine visible.
    
    Un filet plus liquide, car mélangé de salive, coulait par le coin de sa bouche entrouverte. Il lui parcourait les joues pour finir le long de son cou en alimentant la flaque dans laquelle ses cheveux baignaient.
    
    Elle avait les yeux mi-clos, révulsés, comme comateuse. Les seuls signes prouvant qu’elle était encore consciente, étaient de petits soubresauts de ses cuisses, et quelques tremblements.
    
    Elle n’avait même pas été déshabillée. Sa salopette jupe en Jean pendait de part et d’autre, les boutons arrachés.
    
    Son soutien-gorge vert à poix blancs ne tenait plus que par une bretelle, la dentelle qui l’entourait avait disparu du coté gauche. Il ne cachait plus ses deux petits seins flasques aux tétons rougis.
    
    Sa culotte, assortie, n’était pas dans plus bel état. Elle était déchirée en deux, et n’était plus retenue que par ses porte-jarretelles blancs qui maintenaient avec difficulté deux bas eux aussi blancs.
    
    Ces pauvres bas, l’un d’eux ressemblait plus à un sac distendu, il avait été agrippé pas l’élastique servant de poignée pour forcer la belle à se mettre dans les positions demandées.
    
    Isabelle avait toujours les pieds posés sur la table, les genoux pliés et ...
    ... écartés, tel une grenouille prête à bondir. Cette position lui maintenait les lèvres ouvertes, au milieu desquelles on distinguait un vagin dilaté avec, plus au fond, un col de l’utérus, lui aussi évasé.
    
    Comme pour sa bouche, de cette caverne s’échappait un filet de liquide blanc, mais plus épais et abondant. Il coulait entre ses fesses, rejoignant une deuxième source qui lui sortait de l’anus comme deux rivières alimentant un fleuve. Un fleuve qui poursuivait sa course le long des pieds de la table pour finir sur le sol en carrelage du salon.
    
    Les sphincters n’arrivaient plus à refermer son petit trou qui, par moments, faisait des bulles pour évacuer l’air emmagasiné par les va-et-vient répétés. On pouvait aisément y glisser un pouce sans toucher la moindre parois.
    
    Donc, Isabelle gisait souillée au milieu d’un bordel innommable, elle qui était si minutieuse avec son ménage, à la limite de l’obsession.
    
    Il faut dire qu’elle venait de subir son premier abattage en règle. Et ce, avec une quinzaine de jeunes gaillards vigoureux.
    
    Sa copine Sylvie, grosse infirmière nymphomane adepte des tournantes en tous genres, l’avait conseillé.
    
    — Faut pas se mentir, on est pas des bombasses ! En plus on est plus toutes jeunes ! Si tu veux attirer autre chose que des vieux cochons il faut que tu fasses une annonce qui en jette. Il faut leurs en promettre aux jeunes ! Il faut qu’ils soient sûr de se déplacer pour quelque chose !
    
    Qu’ils comprennent que tu n’es que trois trous et une ...
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