1. Le sceptre de la Reine des Amazones


    Datte: 03/01/2021, Catégories: fh, ff, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Humour aventure, Auteur: Manuel, Source: Revebebe

    ... libère un attribut masculin particulièrement motivé et investit la croupe blanche d’un souple mouvement du bassin. Sa jouissance est proche, aussi proche que celle de Claudia. Il s’enfonce suavement, avec délice, aussi loin qu’il le peut, avant de presque se retirer. Trois fois il répète le mouvement, toujours aussi calmement, attentif aux halètements de l’assistante, avant qu’elle ne parvienne à la fin du texte et ne se cabre sur le bureau, envoyant d’insupportables trépidations dans le tréfonds de ses reins. David laisse sourdre son plaisir en gémissant, immobile, alors que Claudia ne finit plus de prolonger sa jouissance en laissant courir ses doigts.
    
    * * * * *
    
    La sécheresse et la désolation du paysage lui donnent une impalpable majesté. Une vaste étendue de petites collines tamisées de pierres noires encadre la rivière Yasil aux rives de laquelle croissent des îlots de verdure. La piste de terre que seules empruntent de rares charrettes en temps habituel lui tient compagnie jusqu’à perte de vue. Sur cette piste, une jeep, mangée par les nuages de poussière que soulèvent ses pneus. Au volant : Sydney, petites lunettes de soleil rondes ajustées sur le bout du nez, débardeur vert tendu comme une tente sur son outrageuse poitrine, dévoilant de larges espaces de peau cuivrée et pantalon moulant enfoncé dans de solides bottes, à l’épreuve des terrains les plus inhospitaliers.
    
    À sa droite, Tali Tzakis, imperturbable sous sa chemise bleu pâle dont il ne roule pas les ...
    ... manches par coquetterie. Derrière lui, Nigel, abreuve sa propre chemise de grosses gouttes de sueur. Peut-être faut-il les attribuer aussi bien à la chaleur étouffante qu’à la présence à ses côtés de mademoiselle Billedou, proprement sublime, cheveux au vent, délassée, en chemisette nouée sous les seins et short minimaliste car « l’archéologie n’empêche pas de profiter du soleil ».
    
    — Dans une heure, nous devrions atteindre le bras de la rivière indiqué sur le sceptre, clame Sydney. Le tombeau ne sera certainement pas accessible facilement. Je parie que nous devrons faire un peu d’escalade.
    — De l’escalade ? s’étonne Nigel. Mais, regarde autour de nous : c’est la plaine ! fait-il remarquer avec un sens incontestable de l’observation et quelque espoir de ne pas avoir à se rompre les genoux sur de traîtres caillasses.
    — Nous approchons d’un plateau rocheux, indique-t-elle en désignant du doigt une bande sombre qui obstrue l’horizon ; la rivière trouve sa source dans le massif, à deux cents kilomètres d’ici et a creusé une vallée dans la pierre.
    — Formidable…
    
    Les quatre archéologues poursuivent leur route sans croiser âme qui vive près d’une heure durant. Ce qui n’était qu’une ombre au loin s’impose peu à peu comme une impressionnante barrière rocheuse. Des crevasses se distinguent de loin en loin et c’est vers la plus importante que les mène le cours de la rivière Yasil. La végétation se fait plus riche et dense à mesure qu’ils se rapprochent des contreforts montagneux ...
«12...111213...23»