Essayages en magasin
Datte: 01/01/2021,
Catégories:
jeunes,
freresoeur,
magasin,
essayage,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Benoberna, Source: Revebebe
... glisser mes doigts sur toutes les parties visibles. On va l’essayer sans soutien-gorge, lui dis-je, glissant mes mains sous la robe, derrière ses cuisses pour remonter chercher l’attache dans son dos.
La cabine est petite et nous sommes quasiment collés l’un à l’autre. Ce contact me fait remonter très lentement les mains, caressant au passage ses fesses et son dos.
— Tu es bien câlin aujourd’hui, petit frère, constate Manon.
Après l’avoir dégrafé, mes mains glissent vers l’avant, mes pouces joints glissant sous le soutien-gorge et mes doigts écartés soulevant les bonnets pour recueillir les seins enfin libérés que je conserve un moment au creux de mes mains. Mais je ne peux finir de l’ôter, les bretelles m’en empêchant.
Je remonte donc totalement la robe, la lui enlève ainsi que le soutien-gorge. Ses seins face à moi semblent appeler mes mains qui ne résistent pas longtemps.
— Mais dis donc, petit frère, mes seins semblent t’inspirer ; tu n’arrêtes pas de les tripoter, murmura Manon.
— Ils sont magnifiques, réponds-je.
— Ils sont peut-être beaux, mais à l’approche des règles, ils sont douloureux et tes mains me font du bien.
— Je vais leur faire des bisous et ils iront mieux, lui réponds-je.
Et je me mets à embrasser ses seins, fermes, doux, les soulevant de la paume de mes mains, saisissant discrètement le bout dressé entre mes lèvres, multipliant les baisers sur cette peau qu’effectivement je sens, tendue, douloureuse.
— Ça me fait du bien, me dit ...
... Manon.
Mais nous ne pouvons rester plus longtemps dans cette cabine. Je lui renfile donc sa robe, après qu’elle a levé les bras, celle-ci prenant automatiquement sa place. De mes mains, je reviens sur ses seins :
— Ça va beaucoup mieux comme ça, on ne voit aucune trace.
Et posant mes doigts sur ses tétons dressés :
— Regarde comme ce tissu met bien en valeur toutes tes formes !
Et mes mains, revenant dans son dos, refont sur la robe, le même chemin en descendant qu’elles avaient fait sous celle-ci en montant, caressant ce tissu soyeux du haut du dos jusqu’à ses fesses que j’ai du mal à lâcher, Manon m’ayant enlacé et se collant à moi.
— Heureusement que je contrôle mes réactions, pensé-je.
Et nous ressortons de la cabine pour que Manon se regarde dans le miroir.
— Tu as raison, c’est mieux sans soutien-gorge, me dit-elle, approuvée par la vendeuse.
Une fois dans la rue nous ne passons pas inaperçus, car, à chaque pas, ses seins manquent de déborder du décolleté, car la robe est si bien coupée qu’il ne se produit aucune sortie intempestive. Aucun des hommes que nous croisons n’a regardé Manon dans les yeux. Posant ma main sur sa hanche, je sens la culotte et constate qu’elle est parfaitement visible et qu’elle gâche un peu la ligne fluide de ce tissu collé à la peau. Me laissant dépasser, je constate en effet que l’on peut en suivre du regard le dessin à travers le tissu.
— Ta robe est sublime, car on dirait qu’elle a été taillée pour ton corps, ...