Une directrice austère qui cache bien son jeu - Histoires de Sexe

Une directrice austère qui cache bien son jeu

... pleine bouche, elle me dit :

— Tu m’aurais vexée si tu avais résisté à pareil assaut, mon Serge chéri.

Le chauffeur me regarde dans le rétroviseur et lève son pouce en riant !

Non mais, de quoi je me mêle…

Nous arrivons à l’hôtel et Louise règle la course. En sortant de la voiture, elle me dit :

— Je suis en ébullition, il va falloir que tu t’occupes de moi maintenant, je suis toute à toi. Fais ce que tu veux de moi, mais surtout baise-moi. Ce soir, je suis ta pute, ta chienne, ta salope

Louise m’emmène dans sa chambre et se jette sur moi.

Elle me déshabille en deux temps trois mouvements. À mon tour, je lui ôte sa robe ainsi que sa culotte humidifiée. J’admire la beauté de son corps que je n’avais jamais soupçonné jusqu’à hier soir. Elle me caresse la bite et me fait comprendre qu’elle apprécie sa taille longue, bien proportionnée et surtout vigoureuse. J’embrasse ses seins, cette fois-ci, à pleine bouche, j’ai bien compris que je n’avais pas intérêt à l’abandonner en plein vol.

J’aperçois sur sa table de nuit deux objets étranges et lui fait remarquer cela. Elle me dit :

— Ce sont mes jouets intimes. Enfin, je veux dire une partie de ma collection, j’en ai pas mal d’autres à Paris. Vivant seule, il faut bien que j’occupe mon temps disponible tard le soir dans mon appartement. J’en emporte toujours lors de mes déplacements, ce sont en quelque sorte mes fidèles compagnons. Mais je dois t’avouer que ce soir, j’espérais bien passer la soirée avec toi ...

... et que tu joues avec eux autant que tu le souhaites.
— Autant que je le souhaite ? Ce sera avec plaisir, mais il faudra que tu m’expliques comment s’en servir, car je n’ai que peu d’expérience avec ce genre de joujoux.
— Alors, je vais t’expliquer, le premier est un gode double, la plus grosse partie est à introduire dans mon vagin, alors que l’autre partie beaucoup plus fine est à introduire dans l’anus. À moins que ce soit le contraire, poursuit Louise en riant.

Je suis impressionné par la taille de l’engin, il est rouge translucide et constitué d’une espèce de boucle d’où partent deux tiges, la première, composée de sept boules ou plutôt des olives avec leurs formes légèrement allongées et de plus en plus grosses, la plus petite mesure un peu plus d’un centimètre de diamètre et la plus grosse doit mesurer au moins six centimètres. L’autre partie du jouet est assez étroite, à peine un centimètre de diamètre pour moins de dix centimètres de longueur.

— Et tu aimes ça, enfin je veux dire, dans l’anus ?
— D’après toi, mon petit Serge ? me dit-elle en laissant planer un petit silence. Le deuxième de mes joujoux est un œuf vibrant télécommandé. Je le glisse dans mon vagin et le garde au fond de moi bien enfoui. Je garde la télécommande dans mon sac à main et déclenche la vibration dès que je le souhaite. Je t’assure que l’effet est saisissant, troublant, excitant. Quand nous serons ensemble, j’aurai le plaisir de t’en confier la télécommande !
— D’accord Louise, je ne ...