L'arrivée à Paris - Histoires de Sexe

L'arrivée à Paris

... viens derrière vous, qui contemplez tout cela. Je viens lentement derrière vous.

Vous empaume les seins à travers cette superbe robe de la photo…

Et vous glisse à l’oreille :

— Eiffel Tower ne fait pas partie de cette perspective, Jane, c’est une question de géographie.

Aucun doute. Et vous l’avez bien compris, Jane. Avec votre classe et votre intelligence.

Vous allez être la merveilleuse et active Tour Eiffel de ce premier tableau.

Vous sentez la chaleur de ma respiration dans votre cou… Mes mains sur vos seins, qui vous empaument.

Je vous susurre doucement : « Eiffel Tower ». L’allusion est limpide.

Vous êtes debout, superbement debout, sur cette terrasse évidemment sans aucun vis-à-vis… . Vous contemplez Paris, et cette perspective.

Vous écartez les jambes, superbement et symétriquement, autant que le permet la jupe. Je me place devant vous, les yeux dans les yeux, avec un doux sourire. Vous levez les bras, droits en hauteur au-dessus de votre tête, afin de pouvoir vous enlever cette jupe. J’aime le faire par le haut. Je le fais délicatement. Magnifique ! Magnifique Tour Eiffel. Belle surprise, une tour Eifel qui avait pris la belle initiative de ne pas mettre de soutien-gorge. Des seins fermes, et bien tenus. Avec des tétons durs, durs déjà ?

Vous êtes debout, jambes écartées, en bottes, avec des bas noirs, une culotte noire, les bras en hauteur, droits et bien levés, qui laissent vos aisselles libres. De magnifiques aisselles, ...

... odorantes.

Je commence à vous caresser doucement, longuement, lentement, complètement

À passer mes doigts, mes mains, ma bouche bientôt sur toutes les parties de votre corps

Oui, vraiment, quelle superbe perspective, infiniment plus belle que d’habitude…

Quelle belle enfilade, Jane, avec tous ces beaux monuments, et cette tour Eiffel : vous.

Et – soyons directs – quel plaisir imminent de pouvoir vous enfiler dans la même perspective.

Je me place devant vous. Je vous touche, et caresse. Je joue. Avec vos seins, vos tétons, vos lèvres, vos aisselles encore. Toujours odorantes. Enivrantes presque…

Avec vos cuisses. Mes mains entre vos cuisses, qui caressent votre sexe, à travers votre culotte noire. Les bras levés, vous ne pouvez que subir.

Que se passe-t-il donc Jane ? Je crois vous entendre gémir un peu ?

L’envie bien sûr d’un premier doigt dans votre sexe. Un premier doigt actif et entreprenant

Qui va-et-vient, et que je goûte. Qui a bon goût, que je vous fais partager.

Votre culotte noire, Jane. Que je baisse un peu. Mais que je laisse volontairement à mi-cuisses

Vous êtes offerte : debout ; bras levés, droits au-dessus de votre tête, car je le veux ainsi ; des bottes ; des bas ; la culotte à mi-cuisses. Jambes écartées, autant que le permette la culotte ; aisselles libres.

Je suis devant vous, Jane, qui restez ainsi. Je me déshabille très lentement en vous contemplant. En contemplant toutes les parties de ce corps que je vais visiter. Et ...