Samuel et Stéviana
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
hh,
couleurs,
prost,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... vers lui, puis j’ai posé ma main sur ses lèvres, pour qu’il se taise. Ça commençait à couler. Il m’a regardée et j’ai juste secoué la tête. Il a semblé émerger tout à coup… et il a compris. Il a ouvert la bouche mais n’a pu prononcer une parole de plus, parce que y en avait marre là ! Et s’il fallait que je le viole, je le ferais !
Je me suis jetée sur lui et lui ai fait ravaler les paroles qu’il avait préparées. Des gémissements et des grognements s’échappaient de ma gorge. J’ai déchiré sa chemise de mes griffes, faisant sauter plusieurs boutons qui sont allés rouler on ne sait où. Je pleurais de frustration. Pourquoi est-ce qu’on était pas encore à poil ? Mon pénis bandait à me faire mal, formant une petite bosse improbable sous une jupe plutôt courte. Je sentais que ça allait venir, déjà, sans que les hormones femelles ne puissent rien y changer. Enfin, je sentais sa langue contre la mienne. Ça provoquait de nombreux soubresauts dans mon ventre. Qu’il me prenne… mais qu’il me prenne vite !
Mais sa langue ne bougeait pas. Il me l’offrait, et moi je tournais comme une folle autour, je la harcelais, mais lui ne bougeait pas. Et j’ai soudain réalisé ce à quoi ça ressemblait : une pute était en train de violer un client… un homme qui lui avait seulement montré que cette espèce d’homme pouvait exister, était capable d’aimer… de respecter même quelqu’un comme elle. Un homme qui lui avait prouvé qu’elle comptait pour lui, parce qu’il l’avait invitée à fêter son ...
... anniversaire… elle, et personne d’autre !
Je croyais avoir touché le fond lorsque j’ai pleuré dans ses bras la première fois, mais je m’étais trompée parce que, là, les sanglots m’ont fait mal. Physiquement. Mais il a été très doux quand il a caressé mes cheveux, qu’il baisé mon front et mes joues, et mes lèvres. Il m’a encore murmuré des mots faits pour calmer, en me berçant au creux de ses bras, et quand j’ai été à peu près tranquillisée il m’a rassise doucement et, toujours en me parlant doucement, il a repoussé ma tête et caressé mes joues en me souriant. Il semblait si calme, lui, alors que quelques minutes plus tôt une panthère avait fondu sur lui pour le dévorer. Il ne semblait pas m’en vouloir. Deux traits de larmes parcouraient ses joues, mais ils semblaient secs : comme s’il avait pleuré il y a longtemps. Avec des gestes très lents, comme s’il ne voulait pas m’effrayer, il a retiré sa chemise, enfin ce qu’il en restait. Une longue estafilade courait sur son pectoral gauche. Elle se terminait par une goutte de sang. C’était moi qui lui avais fait ça ! Il a suivi mon regard et a semblé s’en rendre compte au moment où ses yeux l’ont découverte. Une honte sans bornes m’habitait.
Il s’est mis debout devant moi, sans un mot, m’a souri, puis il m’a prise dans ses bras. Une nouvelle fois je me suis retrouvée survolant le sol, et c’est ainsi qu’il m’a portée jusqu’à sa chambre où, sans allumer la lumière, il m’a étendue sur son lit.
Là, avec son amour, il a tué la panthère, ...