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La bonne petite élève (3)
Datte: 29/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory
... déforment et je viens les appuyer légèrement sur ma bite en tension. Je ne tiens plus et j’en veux plus ! Je remonte en douceur mais avec assurance sa culotte entre ses fesses de sorte qu’elle forme un string. Myriam expire longuement ce qui fait tressaillir ma queue. Je me consacre à présent exclusivement à ses fesses que je pétris avec vigueur. Avec tout le poids du haut de mon corps je fais pression sur son cul comme pour que son minou s’écrase sur le matelas. Je me rends alors compte que ce geste provoque une réaction chez elle. Des frissons dans le dos la première fois, sa bouche s’ouvre grand comme par manque d’air la seconde. Alors j’alterne de plus en plus fréquemment ces pressions avec du pétrissage de ses globes. A chaque fois des réactions sont provoquées. J’en profite alors pour m’étendre un peu sur elle afin de lui parler à l’oreille : — Alors Mimi, tu regrettes de l’avoir enlevé ton pantalon ? — Non, non, vous massez trop bien, continuez. Et comment ! Je reprends ma place mais je change le sens de mon massage. Je ne vais plus de l’extérieur vers sa raie, mais de sa raie vers ses hanches. Cela a pour effet de très largement écarter son cul et ...
... si elle ne portait pas cette culotte un peu roulée en boule entre ses fesses, à coup sûr je pourrais voir à chaque mouvement son petit trou sans nul doute encore vierge de tout. J’en profite même pour approcher ma tête de son cul, et en l’écartant je viens frôler son anus avec mon nez. J’y reste cinq ou dix secondes le temps de m’enivrer du parfum de ses plis. Une odeur légèrement âcre s’en dégage. J’aime cette odeur et j’ai à présent très envie de lécher ce petit trou. Mais je ne la crois pas encore prête à ça. Au prix d’un gros effort je retire ma tête d’entre ses fesses avant qu’elle ne s’en rende compte. Ma queue me brûle mais devra patienter, je m’étends à nouveau sur elle, venant caler au passage la bosse de mon pantalon sur son cul. Je pose ma joue sur la sienne, et à voix basse je lui demande : « tu as aimé ? ». Dans une profonde inspiration elle me répond que oui. « J’espère que tu n’as rien prévu d’autre aujourd’hui, car on va passer la journée ensemble ». A ma grande satisfaction Myriam m’apprend qu’elle a dit à ses parents qu’elle passerait la journée chez une amie. Hum cette première approche m’a mise en appétit. Vivement la suite de la journée...