La bonne petite élève (3)
Datte: 29/04/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: l'estello, Source: Xstory
... ne suis pas sûr que mon discours l’ait beaucoup détendu ! Mais maintenant nous y sommes, pas moyen qu’on revienne en arrière.
Le café avalé, j’essaye de prendre la voix la plus relax et détendue possible pour lui dire : « Bon on s’y met ? ». Elle esquisse un léger sourire et prend une profonde inspiration qui écarquille ses narines et soulève sa poitrine généreuse. « Allez viens suis moi » lui dis-je en étant à deux doigts de lui prendre la main. Mais je me retiens, histoire de ne pas paraître trop pressé. Je me lève et me dirige vers ma chambre d’un pas décidé, j’ouvre la porte que je maintiens pour laisser entrer Myriam dont le pas est beaucoup moins assuré que le mien. Je referme la porte derrière elle :
— Enlève tes vêtements et allonge-toi sur le lit. Je vais nous mettre de la musique zen.
Ce faisant et bien que je sois à l’autre bout de la pièce, je l’observe se déshabiller. D’abord son sweat, puis son tee-shirt de sport informe. Elle est dos à moi et j’aperçois alors un soutien-gorge noir à large bretelle, je penche un peu ma tête pour me dégager l’angle de vue et ce que je vois est à la hauteur de toutes mes espérances. Je peux à présent voir son sein droit, enfermé dans le tissu de ce soutif on ne peut plus classique. Le volume de ce sein est tout simplement énorme. Mais pas le genre énorme, flasque et gras. Non plutôt énorme et ferme ! Pour ne pas être pris la main dans le sac en train de la mater, je me tourne vers la chaîne hi-fi et lance la musique. ...
... Avant même que je me retourne Myriam m’interpelle : « est-ce que je peux garder mon pantalon ? ». Je suis un peu agacé mais je veux y aller en douceur : « oui si tu veux, au moins au début... ». J’ose enfin me tourner et je la découvre allongée sur le lit. Elle s’y est installée en une fraction de seconde, sans doute pour éviter que je n’aperçoive sa poitrine.
Je m’approche du lit et je prends quelques secondes pour bien la regarder. Son visage est planté dans l’oreiller, comme un enfant qui cherche à se cacher, ses bras nus sont étendus le long de son corps, serrés comme pour masquer la vue sur ses cotes et ses seins. Ses longs cheveux d’un noir profond sont jetés pêle-mêle sur son dos ne dévoilant que par zébrures sa peau très mate, presque noire. Mes yeux descendent encore et se posent sur le creux de ses reins magnifiquement cambrés desquels émergent de part et d’autre de la colonne vertébrale deux magnifiques fossettes rondes. Puis son cul, malheureusement recouvert de son jogging, qui ne masque pas à quel point ses fesses sont rebondies, charnues, sans doute très musclées.
Je dirige vers la table de nuit, saisis la bouteille d’huile et m’assois sur le bord du lit, de sorte que ma hanche soit en contact avec la main gauche de Myriam, toujours étendue le long de son corps. Quelques gouttes au creux de ma main, de l’autre je repousse la masse de ses cheveux par-delà son épaule droite. Je commence à la masser sur le haut du dos, dans l’espace défini entre les deux ...