1. Les yeux de Suzy


    Datte: 29/12/2020, Catégories: ffh, extracon, voisins, massage, Oral pénétratio, jeu, couple+f, Auteur: Tournandy, Source: Revebebe

    ... l’extérieur, je dessine des ovales réguliers et me dirige peu à peu vers le bas du dos. Au passage, à travers les fines mailles de son gilet blanc, je sens parfaitement les larges bretelles de son soutien-gorge, ainsi que la fermeture à trois agrafes. Au niveau des reins, Suzy laisse échapper un petit gémissement. Manifestement, elle ne reste pas insensible à ce genre d’attouchements. Je m’attarde sur cette zone en de lentes figures appuyées pour glisser ensuite quelques doigts entre étoffe et peau.
    
    Je relève le bas du gilet et découvre une chair légèrement adipeuse, tendre et duveteuse. Je la masse encore longuement et y dépose quelques baisers. À chacun d’eux, je perçois un frémissement qui court sur tout le corps de ma voisine. Je continue mes effleurements, retroussant le vêtement, jusqu’à ce que le fin tricot, coincé par les bras croisés, reste tendu sous le soutien-gorge.
    
    — Veux-tu enlever ton gilet que je poursuive ?
    
    Elle s’exécute sans mot dire, sans un regard vers moi, semblant juste très absorbée par le déboutonnage des boutons. D’un geste preste, elle retire l’habit qu’elle jette sur le côté et reprend aussitôt la pose. Fugacement, j’ai pu apercevoir la forme d’un sein magnifique, enveloppé dans un profond bonnet.
    
    Mes doigts frôlent sa nuque, écartent légèrement ses cheveux, courent sur ses épaules. Je fais glisser les bretelles de son soutien-gorge, libérant le haut du dos. Je le masse très lentement, de mes paumes, de mes avant-bras, de mes joues, de ...
    ... mes lèvres. Je descends doucement jusqu’à la fermeture du sous-vêtement, que je dégrafe délicatement.
    
    Ah ! Comme ce dos si blanc, si doux, si tendre me saute maintenant au visage avec toute la force de sa nudité ! Comme je voudrais plonger en lui, me baigner dans ses courbes, m’enfoncer dans son velouté ! Ce dos si imperceptiblement vibrant, si vivant, comme je voudrais en saisir les frissons, me fondre dans sa chaleur !
    
    Une vague d’excitation monte en moi, s’insinue dans tous mes membres. Comme je voudrais repousser Suzy au fond du fauteuil, lui arracher le soutien-gorge, la trousser sans ménagement, la sucer, la pénétrer, la posséder toute entière ! Comme je voudrais ! Et pourtant quelque chose de plus fort encore, de plus doux peut-être, de plus partagé m’en empêche… Suzy n’a toujours pas bronché. Elle respire profondément. Je la sens savourer en gourmet les mille frémissements qui l’agitent, en apprécier les infimes tensions, en goûter les subtils relâchements.
    
    Un peu calmé, je pose ma tête sur son dos, mes mains sur ses côtés. Nous restons ainsi plusieurs minutes, presque engourdis, moi ne la touchant que du bout des doigts…
    
    Un bruit cassant et sec vient déchirer cette torpeur. C’est la porte d’entrée. Des pas résonnent dans le hall. Ma voisine se redresse, tendue, en alerte.
    
    — C’est un habitué, dit-elle. On n’a pas sonné.
    
    Les pas se rapprochent, la porte de la pièce s’ouvre. C’est Isabelle, ma compagne ! Suzy est pétrifiée, la bouche crispée. À notre ...
«1234...»