1. Céline n'avait pas de temps à perdre


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, couple, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme scato, Humour lieuxpubl, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... reproduisit de la même façon quelque temps plus tard avec un copain, Antoine, qui avait cru qu’il s’agissait là d’un appel du pied pour une partouze et qui dut déchanter après une bonne claque et quelques mots bien pesés.
    
    Pour Céline, il devenait évident qu’il fallait faire quelque chose pendant que nous faisions l’amour. Je me demandai longtemps s’il s’agissait d’une perversion ou d’une pathologie. Il est vrai que je l’avais toujours vue pisser sans fermer la porte des chiottes, même en présence d’étrangers. Elle n’était pas pudique. À la plage, elle se changeait sans porter la moindre attention aux yeux exorbités des voisins. Elle prenait tout son temps et changeait parfois d’idée, donc une nouvelle fois de tenue. En ville, elle s’accroupissait entre deux portières de voiture pour satisfaire un besoin naturel.
    
    Ceux qui avaient l’heureuse (ou malencontreuse) idée de lui offrir un vêtement pouvaient être sûr d’avoir droit à un essayage immédiat. Ainsi, le soir de son anniversaire, le striptease fut quasiment permanent. On lui offrit des dessous… Elle n’eut pas la patience d’attendre le lendemain pour s’en parer. Ni même de passer dans la chambre pour se changer. Nous étions une dizaine d’amis et tout le monde s’en souvient encore. Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’une fois qu’ils furent partis, je proposai de faire la vaisselle et Céline me répondit :
    
    — Je vais la faire, toi, tu vas me baiser pendant ce temps-là.
    
    Elle se mit nue et commença la plonge, je la ...
    ... pénétrai avec passion, mais rien ne fut cassé de notre service en porcelaine. À la fin, elle récupéra un verre de cristal pour y recevoir ma semence et elle le but comme s’il s’agissait d’un champagne grand cru.
    
    Elle m’expliquait souvent qu’il y a dans la vie des corvées, mais que si nous pouvions les faire en baisant, le plaisir prenait le pas sur l’ennui. Le problème entre nous est venu d’Antoine qu’elle avait giflé assez sèchement. C’est un type rancunier. Pendant des mois, nous n’avons pas eu de nouvelles de lui ; on considérait qu’il était définitivement fâché. La belle affaire. Pourtant un jour, nous avons reçu une invitation de sa part. Comme beaucoup de temps était passé, nous avons supposé que l’affaire ou l’affront était oublié. Nous nous sommes donc rendus à cette soirée. Tout avait bien commencé. Un peu de musique, quelques amuse-gueule, bref tout cela était aussi conventionnel que nous le souhaitions. Puis, vers minuit, Antoine fit tinter son verre pour réclamer le silence et il se lança :
    
    — Chers amis, il est tard et notre amie Céline n’a pas encore baisé ce soir. Je crois qu’elle n’en peut plus et qu’il faut que son chevalier servant sorte sa grosse armada. Soyez charitables : ils ont besoin de témoins pour jouir. Mais ne vous approchez pas trop, la nymphomane sort les griffes !
    
    Dans l’assistance, c’était à la fois le rire jaune et la consternation. Puis un grand silence. Je tremblais de tous mes membres. Céline s’avança avec une certaine solennité, ...