1. Céline n'avait pas de temps à perdre


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, couple, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme scato, Humour lieuxpubl, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    Il m’arrivait souvent de trousser Céline et cela en toute circonstance, sans qu’elle ne s’en offusque jamais. Dans une rue obscure, dans la cuisine, en voiture ou en train, peu importait. Souvent une fille se crispe dans ce genre de situation, vérifie mille fois qu’il n’y a personne dans les parages et, dans le meilleur des cas, demande que l’on termine au plus vite. Parfois, c’est plutôt la gifle qui vient interrompre le manège amoureux. Mais Céline, même surprise au coin d’une rue, écartait le tissu de son string pour qu’on puisse accéder plus aisément à toutes ses sources de plaisir.
    
    Elle aimait particulièrement que je la prenne quand elle était au téléphone avec sa mère. Cela durait des heures. Elle répondait comme une bonne petite fille bien sage à sa maman, pendant que je la chevauchais dans tous les sens.
    
    — Oui, maman, en ce moment il fait froid. Et je mets l’anorak que tu m’as offert. Bien sûr !… Ah bon, Madame Sleider ne va pas mieux. Ah, c’est l’estomac… Et à propos comment va ton petit chien ? Toujours boiteux ? Tant mieux, tant mieux… Attends une seconde, je dois goûter la confiture que je suis en train de tourner.
    
    Et en réalité, elle me suçait avec un aplomb superbe, puis reprenait sa conversation :
    
    — Hum ! Excellent ! J’en conserve le goût au fond de la gorge…
    
    Un peu plus tard dans la conversation, nous passions à la sodomie.
    
    — Tu mets du beurre, toi, dans les haricots ? Ce n’est pas bon pour ce que tu as ? Oui, mais moi, c’est bon pour ce ...
    ... que j’ai !… Comment cela, j’ai une drôle de respiration ? Mais oui, maman, j’ai pris mon suppositoire. Quand ? Juste à l’instant.
    
    Et quand elle en avait assez (de moi ou de sa mère, allez savoir), elle hâtait le processus :
    
    — Écoute, je raccroche, j’ai renversé mon sirop d’orgeat, j’en ai partout. Bisous.
    
    Pour qui étaient les bisous ?
    
    Bien sûr, il arrivait que je lui fasse l’amour pendant qu’elle ne perdait pas une miette d’une émission de télévision débile, pendant qu’elle repassait ses chemises ou ses cours, pendant qu’elle jouait sur l’ordinateur à je ne sais quel jeu à la con, pendant qu’elle lisait une bande dessinée, remplissait notre feuille d’impôts ou tout simplement se penchait à la fenêtre.
    
    Le plus singulier se produisit un vendredi soir. Une de ses amies entra en trombe pour lui parler d’un problème de déménagement qu’il fallait absolument résoudre dans l’urgence. Céline l’écouta un moment et comme cela allait prendre beaucoup de temps, elle dit à sa copine :
    
    — Élise, pardonne-moi, je t’écoute. Mais cela ne te dérange pas si Marc me baise en même temps ? J’en ai vraiment envie et besoin. Mais ne t’inquiète pas, je suis toute à toi. On a l’habitude comme ça.
    
    Devant les yeux ahuris d’Élise, elle fit tomber mon pantalon et s’allongea, fesses nues, sur le canapé. Je m’exécutai. La copine, un peu décontenancée au début, finit par déballer son histoire et on trouva tous ensemble la solution juste au moment où j’éjaculais. Il était temps.
    
    Cela se ...
«123»