1. LA BOITE DE NUIT


    Datte: 29/12/2020, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe Auteur: doucecomplice1, Source: xHamster

    ... rouge. Est-ce qu’elle s’est fait prendre par un amant ou une maîtresse dans la cabine ? Après tout, cela n’aurait rien d’étonnant.
    
    Charline pénètre dans une cabine. Je la suis. Nous sommes intimes, et nous n’avons rien à nous cacher. Ce n’est pas la première fois, ce ne sera pas la dernière que nous partageons des moments personnels ainsi. On emploie souvent l’expression « touche-pipi » nous la pratiquons au figuré, mais aussi au proche.
    
    La cabine est vaste, le lieu encore propre. Un siège au milieu, un rouleau de papier posé sur une petite table, une petite poubelle pour les éléments d’hygiène féminins.
    
    Un frisson descend le long de ma colonne vertébrale quand je la regarde tirer vers le bas le pantalon collant jusqu’à l’obscénité, puis son string, me donnant à voir son ventre nu. Elle s’assied sur le siège. Ses lèvres sont ouvertes, je vois son urètre, dont jaillissent d’abord quelques gouttes, puis un jet puissant d’urine, qui reste stable pendant deux ou trois minutes, avant de faiblir.
    
    C’est alors que je prends conscience du trou découpé dans la paroi du mur qui me fait face. Je me retourne, et je me rends compte qu’il y a le même derrière, peut-être un peu plus grand. Je me demande à quoi ils servent.
    
    Je tends le rouleau de papier à Charline. Elle s’essuie délicatement le sexe, laisse tomber la papier dans l’eau et tire la chasse.
    
    C’est à ce moment là que je sens une présence de l’autre côté de la cloison. Je ne me trompe pas. J’aperçois du ...
    ... mouvement, de la chair, et quelques secondes plus tard, un membre viril apparaît dans notre champ de vision, agité par les spasmes d’un début d’érection qui le fait s’allonger et s’épaissir sous nos yeux.
    
    On se regarde, surprises l’une comme l’autre, partagées entre un début de fou-rire et l’envie de ce sexe de garçon, qui nous est offert dans des conditions tellement particulières. Mais toute ironie disparaît bien vite, pour ne plus laisser place qu’au désir. Elle att**** le sexe au creux de sa main, comme elle le ferait d’un oiseau, et elle se met à le caresser avec des gestes doux. Sous l’effet de cette caresse, le membre viril s’allonge et s’épaissit, prenant une vigueur spectaculaire. On le regarde toutes les deux fascinées. À force de se lécher mutuellement le clitoris, on a oublié ce que ça pouvait faire d’avoir un membre viril à disposition.
    
    Du regard, elle m’invite à la rejoindre. C’est ce que je m’apprête à faire quand je sens quelque chose qui vient se poser contre mes fesses et appuie dessus. C’est un simple point, mais sa chaleur traverse ma robe et mon collant, pour se répandre lentement mais sûrement dans mon corps. J’avais oublié qu’il y avait aussi un trou derrière moi. Je reste comme cela un certain temps, à me remplir de cette sensation enivrante de cette bite contre mes fesses, et à admirer l’érection qui se développe devant moi. Charline est ravie apparemment de masturber ce sexe. Ça l’amuse comme cela amuse un enfant de manipuler un jouet. C’est sidérant ...
«1234...»