Le professeur, sa Maîtresse, l'élève
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... me faire jouir. J’étais en sueur, plus chaude que si j’avais de la fièvre et je sentais trembler mes bras et mes cuisses. Victor est sorti de la chambre et j’ai cru que j’allais devenir folle s’il me laissait comme ça. Surexcitée et frustrée à un point que je n’avais jamais atteint. Je frottais mes cuisses l’une contre l’autre mais, c’était insuffisant.
Quand il est revenu, ma tension était un peu tombée ou, plus exactement, elle s’était répandue dans tout mon corps. Comme si j’étais devenue une pile électrique. Sans que je m’y oppose, il a attaché chacune de mes chevilles après les montants du lit, mes cuisses largement écartées.
Il tenait, à la main, un objet curieux. Un cylindre métallique semblable à un étui à cigare terminé par une ficelle. Il a ouvert mes cuisses pour l’introduire dans mon vagin. Une incroyable sensation de douceur et de plénitude m’a submergée. L’objet bougeait tout doucement à l’intérieur de moi et rallumait toute mon envie de jouir. C’était les mouvements de mon corps qui agitaient et j’ai très vite compris qu’il me fallait jouir si j’arrivais à lui imprimer une oscillation suffisante. Malheureusement, Victor m’avait attachée si étroitement que je pouvais à peine bouger. C’était une torture encore plus savoureuse et plus énervante que la précédente. Comme si je tenais en permanence sur le fil de l’orgasme sans pouvoir y basculer.
Alors Victor a sorti une cravache d’un tiroir et il en a cinglé mes cuisses. J’étais stupéfaite que j’ai ...
... violemment sursauté. Le bond a remué le cylindre dans mon vagin et m’a portée aux limites de la jouissance. Le second sur mes seins m’a procuré une douleur fulgurante et une secousse si vive que j’ai cru que l’orgasme allait exploser. C’est moi-même qui ai supplié Victor de me cravacher à nouveau.
Le premier coup sur mon ventre m’a cambrée de souffrance, soulevée en arc de cercle et plongée en même temps dans une extase voluptueuse si intense que j’ai hurlé en en réclamant plus encore. J’étais au-delà de tout ce que j’avais pu ressentir. Pendue dans un bonheur charnel tellement puissant que j’ai cru m’évanouir.
Je suis restée quinze jours sans retrouver Victor. Je l’ai vu près de la cathédrale, sur la place du marché aux chevaux, en compagnie d’une belle femme brune. Le soir-même, j’ai frappé à la porte du studio. Sans un mot, il m’a prise dans l’entrée, debout contre la porte. Nous étions déshabillés ni l’un, ni l’autre et l’élastique de mon slip me mordait les cuisses pendant que sa verges me faisait jouir très vite et très bien.
Au moment de partit, il m’a demandé si je reviendrai pour la cravache. J’ai fait signe que oui. Ma gorge était trop nouée pour que je puisse dire un mot. La fois suivante, Victor avait disposé sur le lit, un corset blanc bordé de dentelles qui laissait à découvert le haut de mes seins, le pubis et mes fesses. Il m’a aidé à le lacer dans le dos et j’ai fixé moi-même les bas blancs après les longues jarretelles.
Les balconnets du corset ...