1. Le professeur, sa Maîtresse, l'élève


    Datte: 29/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... pendant deux mois. Il me recevait deux fois par semaine dans son studio et nous faisions l’amour. C’était agréable, délicieux même. Mais il me semblait que Victor me cachait quelque chose. Le plus drôle, c’est que j’étais incapable de dire ce qui clochait.
    
    C’était comme un manque dont j’avais le pressentiment, sans parvenir, à le formuler. Victor continuait à développer, devant moi, ses paradoxes et ses provocations. Il y en avait deux qu’il citait fréquemment et qui me révoltaient. Il disait « Si on juge de l’amour par la plupart de ses efforts, il ressemble plus à la haine qu’à l’amitié. » Il disait aussi : « Plus on aime une maîtresse et plus on est près de la haïr. » Il pouvait disserter pendant des heures.
    
    Au début, je l’écoutais sans lui répliquer. Mais peu à peu, je me suis enhardie et un jour, je me suis mise en colère en lui disant qu’il n’était qu’un beau parleur, un intello qui se gargarisait de mots mais était incapable d’agir. Nous venions de faire l’amour et nous étions tous les deux nus sur le lit. Il s’est jeté sur moi en serrant ses deux mains autour de mon cou.
    
    J’ai cru à un nouveau jeu érotique et je l’ai mis au défi de me faire du mal s’il était si près que ça de me haïr comme il le répétait souvent. Il m’a demandé de lui tendre mes poignets et il les a attachés avec la ceinture de son peignoir. Je croyais toujours à un jeu et je l’ai laissé me fixer mon lien après le montant du lit. Il me tenait à sa merci et ça m’émoustillait.
    
    D’autant plus ...
    ... qu’il a entrepris de me lécher. Il le faisait très bien et j’étais folle de sa bouche et des orgasmes à répétition qu’elle tirait de moi. D’être ainsi entravée, incapable de lui rendre ses caresses ou même simplement de le toucher ajoutait encore du piquant à cette nouvelle façon de procéder. Sa langue s’agitait divinement entre les lèvres de ma chatte.
    
    Déjà, les premiers signes avant-coureurs de la jouissance me faisait torde les hanches et creuser mon ventre quand il s’est arrêté brusquement. Il a allumé une cigarette et il a parcouru mon corps avec le bout de ses doigts. De la pointe de mes tétons jusqu’au sommet de mon pubis. J’avais envie qu’il continue de me lécher et qu’il me mène jusqu’au plaisir mais je n’ai rien dit.
    
    Quand mon excitation a été un peu retombée, il a de nouveau passé sa langue sur ma vulve. Un plaisir encore plus aigu et plus intense qu’il a stoppé à nouveau. Je n’ai pas pu retenir une plainte de déception. Il n’en a pas tenu compte. Quelques minutes plus tard, sa langue sur ma fente était si brûlante et si douce que je lui ai demandé de poursuivre.
    
    Mais il a continué son manège sans tenir compte de ce que je disais. J’étais si excitée que j’en devenais incroyablement fébrile et chaque fois que sa langue me touchait, ne serait-ce qu’une seconde, il me semblait que j’allais jouis délicieusement. Victor s’arrêtait toujours juste avant que je n’atteigne l’orgasme. Cette à la fois merveilleux et éprouvant.
    
    À la fin, je l’ai carrément supplié de ...
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