1. La naufragée


    Datte: 28/12/2020, Catégories: fh, plage, Oral pénétratio, Auteur: Filou, Source: Revebebe

    ... retourner pour prendre appui sur la planche devant elle. Je me colle contre ses omoplates en l’embrassant dans le cou et sur les épaules ; elle glisse ses mains dans mon dos pour serrer ses fesses contre moi. Je sens mon pénis dressé s’encastrer dans son divin sillon fessier, puis nous bougeons l’un contre l’autre pendant un certain temps. Ensuite, elle me repousse un peu, attrape mon sexe derrière elle pour le présenter à l’entrée de son intimité. Je lui demande :
    
    — Vous êtes sûre que vous en avez envie ?
    — Venez, je ne peux plus attendre !
    
    Tenant toujours mon pénis dans sa main, elle le frotte contre sa fente et m’invite à la pénétrer. L’eau faisant coussin entre nous, nos mouvements ne peuvent pas être rapides ; de plus, le sable au fond de l’eau se dérobe sous nos pieds. Elle se retourne et nous continuons à faire l’amour longuement l’un contre l’autre jusqu’à ce que je vienne en elle. Nous restons l’un contre l’autre pendant un long moment sans rien dire.
    
    — Qu’est-ce qu’on a fait, Julien ?
    — L’amour ; rien d’autre. C’est mal ?
    — Non, c’est super, mais personne ne doit le savoir !
    — Je vous le jure, ma belle !
    
    Je l’embrasse à nouveau et nous remontons sur la planche pour poursuivre notre balade dans le lagon. C’est plus facile car elle a trouvé son équilibre et s’appuie sans pudeur contre moi ; de temps en temps, elle se retourne pour m’embrasser.
    
    —ooOoo—
    
    Sur la plage, je suis allé acheter deux langoustes à « Captain Findus », mon copain pêcheur ...
    ... qui me fournit en poisson frais. Nous avons dîné sur la terrasse face à la mer, le tout arrosé de quelques Tusker, la bière kényane.
    
    Nous nous sommes installés dans les fauteuils, toujours sur la terrasse où une petite lampe diffuse une lumière tamisée. Après avoir mis un peu de musique douce, nous parlons de tout et de rien. Une fois sa bière terminée, Esther pose la bouteille par terre, allonge son pied et le fait glisser sur ma jambe.
    
    — Cette fois, nous allons avoir le temps de bien faire l’amour ! me dit-elle.
    
    Je lui demande en français : « Tu peux retirer ton top ? », mais elle n’a pas l’air de comprendre. Je veux voir, explorer ce corps ; l’envie et la curiosité se mélangent dans mon désir de la posséder. Je me lève, retire ma chemise et lui fais signe de faire de même. Puis je me rassieds. Je n’ai pas besoin d’une réponse pour savoir qu’elle me suit dans mon jeu. Esther retire son top, découvrant un soutien-gorge gris perlé transparent à travers lequel je peux apercevoir l’extrémité sombre de ses seins. Puis elle se soulève dans le fauteuil pour retirer son short. Je fais de même avec mon pantalon et mon caleçon, et c’est nu que je continue à la regarder.
    
    Elle ouvre lentement les jambes puis, avec sa main, écarte le tissu de sa culotte pour me permettre de distinguer son intimité. La lumière n’étant pas suffisante, je ne vois rien ; je me lève et m’agenouille face à elle, puis l’embrasse sur le ventre et à l’intérieur des jambes. Sa peau douce et satinée est ...
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