1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (11)


    Datte: 28/12/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... immédiatement en bouche.
    
    Puis nous trouvâmes une position convenable pour tous.
    
    Je me glissai sous Anne-So pour pouvoir au moins lui sucer les seins et qu’elle en fasse de même, mais il est vrai que son énorme ventre me gênait.
    
    La position ne répondant pas à mes attentes, je décidai de revenir à plus classique et me mis en levrette à côté de l’autre couple. Ainsi nous pouvions comparer les prouesses de l’homme et de l’animal. Anne-Sophie n’arrêtait pas de gémir et de commenter le bien que lui procurait le clebs.
    
    Elle se chatouillait l’abricot pour se donner encore plus de joie. Plus massif que mon chien et sans doute moins fatigué, car baisant moins, le dogue y allait plus fort. Elle bougeait plus, ses gros nichons dansaient davantage. Quant à moi, j’appréciais les coups de bite du jeune homme décidément plein d’aptitudes.
    
    Nous les encourageâmes l’un et l’autre.
    
    — Vas-y plus fort. Enfonce-moi, enfonce-moi !
    
    Le chien paraissait insensible à ces encouragements, mais le gitan, lui, se prenait au jeu... Parfois, il quittait ma chatte pour se reposer un peu ou aller se la faire sucer. Il devait se montrer capable de tenir après le chien. C’était mon cahier décharge.
    
    — Qu’est-ce qu’il pisse, mais qu’est-ce qu’il pisse ! Il me remplit comme une outre !
    
    Elle fut à nouveau secouée par l’orgasme, folle de jouissance... elle délirait. La bête en profitait. Jeune encore, elle y mettait de l’entrain et ses coups de reins rapides et puissants faisaient balloter ...
    ... ses grosses couilles. Il haletait sans discontinuer et poussait à fond sa trique en avant.
    
    — Féconde-moi mon grand loup, pousse à fond, gicle, remplis-moi de ton foutre grosse bite, baise-moi, fais de moi ta femelle, vas-y... Ta queue est trop bonne... et je ne sais quoi d’autre encore.
    
    Il fallut attendre encore un bon quart d’heure pour que l’animal arrive au bout. Toujours solidement campé sur ses pattes antérieures, il accéléra le rythme et, malgré la faible amplitude de ses mouvements, sa force suffit pour secouer la fille qui s’agitait en même temps que lui ses gros seins flottant à la même cadence que les couilles. Elle geignait sans arrêt comme une Japonaise de porno. Le toutou éjacula enfin et se détacha assez rapidement. Bien que fatiguée, la femme immédiatement se rua sur lui et, après quelques caresses pour l’amadouer, elle attendit qu’il se mît sur le dos pour lui sucer le dard qui n’était pas encore rentré dans son fourreau.
    
    Quant à Djidjo, il plongea sa bite dans le con plein de foutre canin dès qu’Anne-Sophie fut stabilisée et il la lima violemment.
    
    Évidemment, j’étais là pour le sucer quand il sortirait. Il me fallut attendre un peu et je me jetai avec avidité sur le gros zob recouvert de jus jusqu’aux poils. J’attendis que l’homme éjacule en moi, mais comme il s’était bien vidé les couilles depuis 24 heures, je ne reçus qu’à peine une dose satisfaisante pour étancher ma soif.
    
    Nous regagnâmes nos lits.
    
    Le lendemain, chacun rentra chez soi, non ...