J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (11)
Datte: 28/12/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Dès que je fus près de lui, il mit sa tête entre mes seins et commença à les lécher.
— Vous avez vu la taille de sa bite ! Non, mais regardez l’engin ! Dis Vladimir.
— C’est dingue. C’est le plus gros zob que j’ai jamais vu. Dis le maire.
— Là... à part le caresser...
— Ce n’est pas ça qui lui ferait peur, hein, ma chérie ?
Si, cela me faisait peur. Il était impossible de s’enfiler un tel truc. Cela me tuerait... C’était impossible sans l’assistance d’un homme pour guider la queue et la retenir de m’écraser les ovaires.
L’animal était doux. J’avais envie de lui, mais je ne voulais pas essayer cela en public. Pour calmer l’ardeur de ces messieurs, je tiens la verge de l’animal, puis ses couilles.
— Suce la bite, suce la bite s’écrièrent quelques garçons.
Je pouvais encore leur donner cette satisfaction-là.
Je me mis à quatre pattes sous la bête qui ne broncha pas. Je pris l’extrémité du gros zob en main et je fus frappée par sa lourdeur. Puis je le léchai et mis le gros gland dans ma bouche. Il y entra tout juste. IL avait un fort goût de pisse... trop fort. Il faudrait que je songe à lui laver la bite à l’avenir.
J’entendis distinctement Eric dire à sa femme qu’il trouvait cela dégoutant.
Après avoir longuement sucé ce bon gros vit auquel je m’habituais, je le saisis pour m’en caresser le bout des seins. L’âne bougeait à peine. Je me remis debout, lui fis un gros câlin en lui promettant de revenir bientôt.
Puis nous retournâmes dans le ...
... grand salon. La soirée ne fut que sexe et boisson. Les hommes nous tirèrent à couilles rabattues jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Certains abusèrent du champagne ou du cognac. Quant à moi, je profitai de l’exceptionnelle santé de Djidjo et du personnel de service pour me faire foutre dans mon lit nuptial. J’étais vraiment satisfaite du petit gitan dont la grâce juvénile, la musculature avantageuse et son ardeur me ravissaient. Il dut bien me faire l’amour six fois dans la journée. J’aurais aimé le garder à domicile. Dommage qu’il dût rejoindre sa famille à la fin du week-end.
Je m’endormis à ses côtés et ceux d’un black de service qui plongea lui aussi dans le sommeil, avant moi, après m’être mis une dernière décharge jusqu’au fond du gosier.
Je fus réveillé avant le petit jour par une forme qui se glissa entre les deux hommes et moi. Je reconnus aussitôt Anne-Sophie.
Djidjo respirait lentement, couché sur le ventre, son cul rebondi tellement alléchant. Le Black était profondément plongé dans les bras de Morphée, son gros sexe au repos, tentant. C’est la Lune, qui éclairait tout cela. Je n’avais pas fermé les persiennes, juste les rideaux, mais Anne-Sophie les avait tirés pour se guider. Elle s’était juste blottie contre moi, contre mon dos. Mais elle m’avait réveillée, aussi m’étais tournée.
— Oh ! Je t’ai réveillée !
— Pas grave... On n’a pas d’heure pour se lever. Tu n’es pas avec ton mari ?
— Non... il n’a pas l’habitude de boire et je crois qu’il a abusé ...