1. Trahisons, ou le Retour de la Grande (15)


    Datte: 27/12/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... pour son inconditionnel abandon. Ayant saisi un gode de grosseur moyenne, elle lui refit remonter très haut les genoux afin d’exposer les parties les plus intimes de son anatomie et, tout en lui offrant un nouveau baiser d’encouragement, entreprit de masser doucement du doigt le sphincter qui s’offrait à elle. Étalant progressivement la cyprine fraîche qui recommençait à s’écouler de ses nymphes encore sous l’excitation, Sophie poursuivit ses mouvements en exprimant davantage de pression sur le muscle réchauffé qui perdit peu à peu de sa résistance.
    
    — Avec la langue, Maîtresse. Explorez-moi avec votre langue. Elle est si douce et me rend si chatouilleuse !
    
    C’est dans un concert de gémissements à peine contenus que bientôt Amélia accueillait dans son fondement un muscle lingual frétillant, provoquant chez cette nouvelle enculée d’agréables frissons de plaisir. Jamais dans sa vie celle-ci n’avait éprouvé de sensations aussi intenses, aussi stimulantes, aussi perverses. La fille s’abandonnait de plus en plus à ces caresses qui cherchaient à bénir les zones les plus interdites de son anatomie. Les mouvements de cambrure de la petite brunette, accompagnées des jeux de contraction-décontraction du sphincter, témoignaient sans équivoque non seulement de la joie qu’elle connaissait mais également du désir pervers de sentir une plus profonde agression de son rectum en pleine libido.
    
    — T’es prête pour la suite, ma belle ? J’y vais très doucement.
    
    — Oui, oui, Maîtresse, je ...
    ... suis prête, souffla-t-elle tout bas entre deux gémissements d’expectative. C’est tellement bon. Je me sens tout chose. J’ai tellement envie de vous ! Dites-moi si je dois faire quelque chose.
    
    — Tu prends une grande respiration. Quand ça va tirer sur ta petite rosette, tu pousses un peu, comme pour aller aux toilettes, et tu expires lentement par la suite.
    
    Le gode fit sentir sa présence sur le muscle déjà travaillé par l’habile langue de la rouquine. Observant les réactions de sa jeune initiée, Sophie accentua la pression sur l’anus glissant.
    
    — Oh oui, Madame, ça... ça force un peu. Attendez... Je vais essayer de me relâcher un peu plus...
    
    Stoppant la progression, l’instrument ne se fit imprimer que de légers mouvements de rotation sur son axe, amorçant sur place un très discret va-et-vient.
    
    — C’est... c’est bon, Madame. Oui, j’aime ça, tout doux comme ça.
    
    — Maintenant pousse un peu, ordonna Sophie.
    
    — Oui. Oh ! Oui, je le sens passer. Ouf, c’est un peu gros, arrêtez s’il vous plaît.
    
    Sans perdre patience, Lady D fit toutefois un rappel :
    
    — Souviens-toi que tu dois souffrir pour jouir, surtout quand c’est la première fois, chérie.
    
    — D’ac... d’accord, Maîtresse. Je vous fais confiance. Allez-y maintenant...
    
    D’un geste décidé, le gode fut poussé jusqu’à son ultime diamètre, alors que la jeune, tout en émettant dans une grimace un long gémissement, opposait une vive poussée contre l’instrument, provoquant l’expulsion discrète d’un gaz.
    
    — Ouf ! Il ...
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