1. Trahisons, ou le Retour de la Grande (15)


    Datte: 27/12/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: simson3, Source: Xstory

    Aussi maternellement que Jasmine sa tendre maman l’avait fait à son endroit il y avait déjà quelques années, Sophie poursuivait l’initiation saphique de la petite Amélia.
    
    — Tiens ma belle, vois comme tu te détends maintenant. Tu commences à mouiller comme une vraie petite salope, susurra la rouquine à l’endroit de la fille maintenant entièrement nue, en lui faisant humer une petite pièce de vêtement humide et jaunie par une cyprine à laquelle s’étaient mêlées quelques gouttes d’urine.
    
    — Ça sent bon, Maîtresse. C’est... c’est... ouf ! C’est bon. C’est même... excitant, je dirais. Devrais-je avoir honte de dire que j’aime ça ?
    
    — Ta mouille sent très fort, mon bébé. Et tu as aussi fait un peu pipi dans ta culotte. Ne t’en fais pas : j’étais aussi comme toi, avant. Et pourquoi devrais-tu avoir honte ?
    
    — Sais pas trop. C’est pas de choses... interdites, aimer sentir sa culotte mouillée ? Se faire faire l’amour par une femme... moi qui suis une femme ?
    
    Sophie ne répondit pas. Lentement, elle avait ouvert les cuisses de sa nouvelle soumise, surveillant discrètement des yeux sa réaction. Lui ayant levé les genoux pliés, elle passa à l’exploration de ce sexe chaud, humide et secrètement libidineux. Quelques secondes à peine lui suffirent à recevoir cette grande révélation :
    
    — Mais Amélia, tu es vierge ?? Je... j’ignorais. Personne ne me l’avait dit ! s’étonna-t-elle à la vue de la membrane rosée défendant la virginité de l’ingénue.
    
    — Vous agissez pourtant comme ...
    ... si vous le saviez depuis toujours ! Vous me prenez d’une façon si délicate, Lady D !
    
    — Tu n’as jamais fait l’amour avant, demanda Sophie, quelque peu troublée.
    
    — Je ne me suis jamais donnée à quiconque. À aucun garçon ni aucun homme.
    
    — Et ta sœur Anna ?
    
    — Anna est plus délurée que moi, Madame. Elle a perdu son pucelage il y a longtemps déjà, passant d’un copain à l’autre. J’ignore cependant comment elle peut réagir dans les bras d’une femme.
    
    Sophie maintint le rythme de ses délicats attouchements sur ce corps innocent dont elle prenait lentement possession. La jeune ne put garder davantage pour elle seule le témoignage du sublime plaisir qui s’emparait inexorablement d’elle :
    
    — Et je... je n’aurais jamais cru éprouver tant de plaisir à m’abandonner à une femme. C’est tellement doux, tellement sensuel, vos touchers, Madame !
    
    Flattée de ces derniers mots, Sophie envoya sa langue à l’exploration du portail de ce sexe vierge et nubile, avec la ferme intention de conforter le bien-être ressenti par cette gouine qui se révélait. C’est en se tortillant le bassin qu’Amélia accueillait les saphiques caresses de la rouquine dont le visage était de plus en plus inondé par la mouille de cette petite cochonne qui se mouvait devant elle. Le temps sembla s’arrêter pour ces deux femmes en communion de sens et de volupté.
    
    Dans l’intervalle, et à peu de distance, l’on pouvait percevoir les gémissements plaintifs témoignant des sensations poignantes qu’éprouvait Anna, sa ...
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