Travesti et soumis à ma femme et à ma belle-soeur (2)
Datte: 27/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: soumis a ma femme, Source: Xstory
... le string ?
Comment ferait une femme pour aller aux toilettes d’après vous si elle ne peut pas baisser sa culotte ?
Et là, elle baisse mon string par-dessus les bas afin de les accrocher. Elle reste stupéfaite et éclate d’un rire sonore ; que dis-je ; elle est prise d’un fou rire en regardant mon petit machin tout rabougri qui pendouille lamentablement, elle hurle de rire, je finis d’accrocher les bas, remis mon pantalon et je sortais ; alors qu’elle était toujours en train de se tordre de rire, je n’ai jamais connu pareille humiliation même dans mes fantasmes les plus fous, je ne pouvais imaginer être un jour, rabaissé à ce point ; je récupère ma voiture et je prends la route en direction de notre maison de campagne.
Lorsque j’arrive sur place, il est 13 h 47, ouf ! Je suis à l’heure, je me dirige vers la maison, et lorsque j’ouvre la porte, la voix de Lily résonne; tu ressors, tu vas jusqu’à ta voiture, tu enlèves tes fringues de mec, tu vas dans ma voiture, il y a une paire de chaussures pour toi sur le siège et seulement tu reviens à la maison.
Aussitôt dit, aussitôt fait ; et me voilà en jupe ; chemisier ; je vais jusqu’à la voiture de Lily et sur le siège il y a une paire de chaussures féminines avec des talons de quatre ou cinq centimètres ; je les enfile ; mais pour marcher ce n’est pas la même affaire, j’ai l’impression d’être une fille de joie sur le trottoir en train de tordre du cul pour attirer le client. Bref, je reviens à la maison et quand j’y ...
... entre, une série de flashs m’aveugle, elle m’a pris en photo ; habillé comme cela.
Lily est là, devant moi. Je m’approche d’elle, pour lui faire la bise, et au lieu de cela, elle me colle une gifle magistrale qui me fait reculer en vacillant sur mes escarpins.
" Tu ne crois pas que je vais embrasser un travelo habillé en pute tout de même, viens avec moi, et dépêche-toi.
Nous arrivons dans la chambre (la nôtre, à Nath et moi, elle me dit :
— Allonge-toi sur le lit sur le ventre.
Me voilà allongé sur le ventre, elle me met une cagoule sur la tête ; la rabat jusqu’au menton, de sorte que je ne vois plus rien. Elle m’enlève le chemisier et je sens que mes poignets sont pris dans quelque chose ; j’essaye de me débattre, mais impossible de bouger les bras. Elle me fait mettre à quatre pattes et je sens que mes genoux subissent le même sort avec une sorte de sangle qui me prend derrière les genoux, et qui, je m’en apercevrais plus tard, se trouve reliée au même montant du lit. Ensuite, elle m’enlève la cagoule et je me retrouve sur le lit, le cul présenté vers elle en string, attaché aux montants du lit à baldaquin.
— Ne t’inquiète pas, tu vas voir, tu vas prendre ton pied. Me dit-elle.
Je sens quelque chose de froid au bord de mon anus : du gel ; puis, quelque chose pénètre dans mon cul : un doigt qui fait un va-et-vient de plus en plus vite puis qui tourne sur lui-même. L’effet est catastrophique, ma bite commence à durcir, puis cela s’arrête ; et de nouveau, ...