Travesti et soumis à ma femme et à ma belle-soeur (2)
Datte: 27/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: soumis a ma femme, Source: Xstory
Lorsque Nathalie est rentrée ce soir-là, elle m’a trouvé mauvaise mine. "Qu’est-ce que tu as ?" me demanda-t-elle.
— Rien, rien.
— Mais si ! Qu’est-ce qui se passe ?
— Mais rien, voyons !
— Toi, tu me caches quelque chose, j’en suis sûre. Me dit-elle pour finir.
Je n’allais tout de même pas, lui raconter que sa sœur était venue, qu’elle m’avait trouvé à poil, qu’elle avait éclaté de rire en voyant ma petite bite et que pour finir elle m’avait fait enfiler ses sous-vêtements en me donnant rendez-vous pour la semaine prochaine afin de me prendre comme une pute.
Le week - end se passa sans problème, mis à part que nous n’avons pas vu Lily, ce qui parut étrange à Nath ; la semaine débuta sans encombre et le jeudi après-midi un SMS arriva.
Demain, tu viens à 14 h comme prévu, tu arrives habillé avec une guêpière, un string, des bas, une perruque, et surtout tu mets une jupe ou une robe, je serais sur place, n’oublie pas que j’ai la clef.
Ce n’est pas possible, je ne peux pas faire cela quand même, c’est dit, je ne dirais pas non, mais d’abord, je ne vais pas lui répondre, et si elle parle à Nath, ce sera sa parole contre la mienne.
Environ 10 minutes plus tard, un second SMS arrive
Tu pourrais répondre !!!!!!
Non, je ne répondrais pas non, mais elle se prend pour qui ?
Et cinq minutes plus tard, mon Dieu ! Une photo de moi avec une guêpière, des bas et un gode dans l’anus avec un commentaire : VISIBLEMENT, TU ME PRENDS POUR UNE CONNE ?
, Tu ...
... crois que je ne m’étais pas rendue compte de ton manège avec mes culottes et mes godes ?
Tu as trois minutes pour me dire que tu sera la, et habille toi comme je veut sinon Nath va recevoir un joli message.
Effondré, je suis effondré. Comment ai-je pu être aussi con.
Je l’appelle, la supplie, m’effondre en larme, mais rien n’y fait ; sa seule réponse est :
— Je t’attends demain à 14 h.
La soirée fut très longue, j’ai inventé des problèmes au travail pour justifier mon manque d’enthousiasme et la nuit fut encore plus longue avec des moments où j’étais en sueur dans le lit, je crois, en fait, d’avoir fait une crise d’angoisse.
Étant dirigeant d’une société, le lendemain matin, je n’ai eu aucun problème pour quitter mon bureau en prétextant à mes secrétaires un mal de tête et j’étais rentré à la maison.
Vers 12 h, je commençais à me préparer en suivant les consignes de Lily : tout d’abord une guêpière beige à Nath, puis un string assorti en n’oubliant pas de cacher ma petite chose entre mes cuisses, puis une paire de bas ; et zut ! Ils sont filés. Certainement, moi, la semaine dernière, je vais en prendre une autre paire ; oh non ! Il n’y en a pas d’autres ; comment vais-je faire ? Tant pis, j’appelle Lily, elle comprendra, je prends le téléphone, elle décroche et je lui explique le problème;
Ah ! Me répond-elle. Eh bien, ce n’est pas un problème, tu vas aller rue machin (vous comprendrez que je ne dévoile pas le nom de la rue ni du magasin), tu vas dans ...