La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1090)
Datte: 26/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... en serrant les jambes. Mal m’en prit car le bougre aimait ce geste qui le comprimait ce qui me faisait changer le croisement de mes jambes, tant et plus que le professeur s’en rendant compte ajouta, perfide…
- Tu te branles, Isabelle ?
- Oh Monsieur, rouge vif, cramoisie même, d’être découverte alors qu’habillée c’était comme si j’étais nue en face de lui. En plus, il m’avait déjà vu nue donc…
- Tu sais, ajouta-t-il doucement en me caressant tendrement les doigts, tu as encore beaucoup de choses à découvrir sur toi et ne me dis pas le contraire, tu aimes que je te parle comme en ce moment.
Je ne répondais rien, serrant les dents et les cuisses. Lui, avait reculé de la table, et adossé à sa chaise, regardait le manège de mes jambes fines et parées de bas. J’avais aux pieds des chaussures à petits talons, qui mettaient en valeur la finesse de mon coup de pied. Sous le coup de l’émotion je ne me rendis pas compte qu’il regardait avec insignifiance, mes jambes… qui, changeaient de pose toutes les minutes. Tantôt la droite sur la gauche, puis la gauche sur la droite, mais très serrée lune contre l’autre à chaque fois, au point que je faisais passer le pied libre autour du mollet posé à terre. En fait je comprimais mon clitoris, je me branlais sans mes mains mais avec la même efficacité. Subitement, dans un grand sourire, et en se rapprochant de la table le professeur dit :
- Si tu continues ainsi, Isabelle, tu vas jouir toute seule !
Même s’il l’avait dit ...
... doucement, la table d’à côté avait entendu et les hommes qui y étaient me regardaient maintenant fixement.
- Je sors Monsieur, répondis-je vexée, comme on peut jouer à l’être à cet âge avec un Monsieur qui aurait pu être mon père. D’un air de dire « je ne suis pas celle que vous pensez... »
Me rattrapant dans la rue, mon manège de femelle outrée le fit rire franchement ce qui me désarma au point que j’éclatais de rire en même temps que lui. Pour le coup, nous riions tous les deux, cela faisait du bien… Enfin le calme revint et quand il me prit dans ses bras, de fait j’étais déjà conquise… Serrée contre lui, il me regardait dans les yeux, ne disait rien, il me pressait contre lui, mes tétons durcissaient, mon clitoris, refroidi par la fin brutale du restaurant, s’était retiré, mais subitement reprenait de la vigueur à nouveau.
- On y va, dit doucement le professeur ?
- Oui Monsieur, répondis-je doucement…
Il me prit par la main et nous nous dirigeâmes vers l’hôtel le plus proche. Les formalités remplies, nous voilà dans la chambre où nous nous jetâmes l’un sur l’autre en un baiser torride.
- Déshabille-toi entièrement, dit-il, soudain !
Je fus surprise de ce que je me dis être de la brutalité, mais le connaissant j’obtempérai. J’allais retirer mes chaussures et mes bas lorsqu’il ajouta :
- Non, reste ainsi, tu es si… belle, mais écartes bien les jambes et place tes mains derrière ta nuque. (J’obéissais !) - Ferme les yeux, ordonna-t-il !
Un bandeau se posa ...