1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1090)


    Datte: 26/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse et son clitoris – (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) –
    
    J’avais grandi. La danse était terminée pour moi à cause de cet accident de voiture stupide, genoux abimé ! Je n’étais pas encore devenue mannequin, je souhaitais faire des études de médecine. J’en étais là de ma vie de jeune fille, mais comme tous les soirs, j’avais rendez-vous avec mon très cher ami, mon clitoris qui, je l’avoue, me comblait tous les soirs. Une véritable relation sensuelle s’était formée entre lui et moi et je découvrais de multiples manières de lui parler. C’est de l’une de ces manières dont je vais vous parler maintenant. J’avais, depuis longtemps remarqué que le nez clitoridien était particulièrement sensible, (en tous cas chez moi) aux tapotements. J’en avais établi toute une panoplie, allant du simple tapotement anodin, presque caresse douce, à la tape plus forte, avec les bouts de mes doigts, en passant par de petits coups de règle… A chaque fois, je réagissais fortement et avec volupté.
    
    J’avais été initiée, à un rapport sexuel par un de mes professeurs et c’est au même prof que je dus de connaître une autre sensation clitoridienne. Je retrouvais ce professeur à la Fac d’Assas, par hasard, dans l’un des nombreux amphis de la Faculté. Pourquoi était-il là ? Je ne sais. Quoiqu’il en fût, il me reconnut tout de suite, et toujours aussi sympathique que quelques années auparavant, c’est sans méfiance de ma part que j’acceptais ...
    ... d’aller boire un verre, après les cours, en ville, avec lui. J’avais grandi, étais plus formée, devenue presque femme mais plus tout à fait gamine. Lui, avait pris quelques kilos, ses cheveux étaient devenus grisonnants, et je le taquinais gentiment sur ses changements. Je me sentais très à l’aise en sa compagnie et en plus, très contente de le revoir. Vers la fin du repas qu’il m’avait offert dans un petit restaurant local, entre la poire et le fromage, il me dit sans ambages :
    
    - Te souviens-tu de la dernière fois, Isabelle ?
    
    Alors que je portais à la bouche ma fourchette, celle-ci fut stoppée illico par la demande. Evasivement mais rougissante :
    
    - Oui Monsieur, répondis-je le nez dans mon assiette.
    
    - Pourquoi rougis-tu, Isabelle ? me demanda-t-il
    
    - Euh…euh…je ne sais pas, Monsieur.
    
    - Tu avais aimé ?
    
    Je ne pouvais dire autre chose que :
    
    - Oui bien sûr !
    
    - Je vais te dire quelque chose que tu dois savoir Isabelle. Tu es très douée pour les questions sexuelles. Je ne te dis pas cela par avantage ou espérant quelque chose, mais parce que je l’ai bien vu la dernière fois. Tu en feras ce que tu veux bien sûr, ton corps t’appartient, mais moi, je voulais que tu le saches. Je me souviens par exemple de la réactivité de ton petit clito…
    
    Ah ! Voilà le mot fatidique et mon très cher clito entendant qu’on parlait de lui, qui tendit non seulement l’oreille mais réagit immédiatement comme pour dire :
    
    - Oui Monsieur, je suis là !
    
    Le traitre, me dis-je ...
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